35 bis. souligne que le Conseil du commerce et des technologies participe d’un programme commercial transatlantique plus constructif et vise, à terme, à ancrer des valeurs démocratiques et éthiques dans les nouvelles technologies ainsi qu'à devenir une structure institutionnelle transparente à même de prendre les rênes de la transformation numérique à l’échelon mondial; se félicite, à cet égard, que la réunion inaugurale ait eu lieu comme prévu malgré les tensions, qui doivent être discutées de manière ouverte et franche; souligne que les échanges bilatéraux pourraient rapidement bénéficier de retombées positives, et presse donc les deux parties de viser des résultats concrets; salue à cet égard les résultats de la première réunion du Conseil du commerce et des technologies, le 29 septembre à Pittsburgh, au cours de laquelle des thèmes concrets pour chacun des dix groupes de travail ont été adoptés; plaide en faveur d’un engagement, entre autres, pour la mise en place d’une coopération visant à éviter de nouveaux obstacles inutiles au commerce des nouvelles technologies et les technologies émergentes pour le filtrage des investissements et l’exportation de biens à double usage, ainsi que d’un engagement en faveur de mesures effectives pour lutter contre les politiques et pratiques non fondées sur le marché et celles qui faussent les échanges; se félicite de la définition, au sein du groupe de travail sur les défis du commerce mondial, de thèmes spécifiques, tels que la résolution des problèmes posés par les pays n’ayant pas une économie de marché, ou encore la coopération sur le droit du travail et les politiques climatiques dans la perspective des échanges commerciaux; insiste sur l’importance de la coopération en matière de normalisation internationale des technologies; préconise de créer une sous- commission du commerce et des technologies dans le cadre du dialogue transatlantique des législateurs pour compléter le bras exécutif du Conseil du commerce et des technologies et d’exercer un contrôle démocratique sur celui-ci; souligne que le Conseil du commerce et des technologies n’est pas le cadre de la négociation d’un accord commercial entre l’Union européenne et les États- Unis, sans préjudice des initiatives futures à cet effet;