Résolution sur la répression systématique en Biélorussie et ses conséquences pour la sécurité européenne, à la suite des enlèvements perpétrés à bord d’un avion civil de l’Union intercepté par les autorités biélorusses
Amendement n°7
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📝 Amendement
14. prie instamment le Conseil de mettre en œuvre de toute urgence le quatrième train de sanctions visant les personnes et les entités qui ont pris part à la fraude électorale
en Biélorussie ou
, à la répression, à la torture ou aux mauvais traitements et
aux violations des droits de l’homme perpétrées
ensuite
en Biélorussie
, ou qui s’en sont rendues complices, y compris en persécutant des journalistes et des blogueurs indépendants, et de commencer à travailler sur une nouvelle série de sanctions; demande des sanctions contre
un nombre beaucoup plus élevé de responsables biélorusses, tels que
les procureurs, les juges et les agents des services répressifs qui jouent un rôle dans la répression et la condamnation indue des opposants au régime, ainsi que contre
la police, le personnel pénitentiaire, les députés et les membres du gouvernement,
les agents travaillant pour le régime dans les domaines de la propagande, des médias, de la désinformation et des discours de haine,
contre
les personnes et les entités qui soutiennent Loukachenko et son régime, comme Marat Markov, qui a interviewé
Roman Protassevitch sur la chaîne d’État ONT le 2 juin, ainsi que ceux qui ont participé à l’incident du 23 mai, tels que les agents du renseignement et les autorités
aéronautiques; rappelle, à cet égard, la nécessité de tirer pleinement parti des possibilités de mesures restrictives prévues par le régime mondial de sanctions de l’UE en matière de droits de l’homme (loi Magnitsky de l’UE);