(6) Afin d’améliorer la
résilience et la
planification en matière de prévention et de préparation, l’Union devrait
continuer à plaider en faveur d’
renforcer les
investissements dans la prévention des catastrophes dans tous les secteurs
, et d’
et au niveau transfrontière, y compris des catastrophes d’origine sismique, telles que les tremblements de terre, ou causées par des inondations ou un déséquilibre hydrogéologique, telles que les glissements de terrain, et renforcer également les
approches globales en matière de gestion des risques sous-tendant la prévention et la préparation, en tenant compte d’une approche multirisques, d’une approche fondée sur les écosystèmes et des répercussions probables du changement climatique, en étroite coopération avec les communautés scientifiques compétentes
et les principaux opérateurs économiques
, les principaux opérateurs économique et les autorités régionales et locales, qui sont des acteurs essentiels du cycle de gestion des catastrophes, ainsi qu'avec les organisations du secteur tertiaire et les organisations bénévoles qui agissent sur le terrain, sans mettre en péril les mécanismes de coordination de l’Union existants
. À cet effet, des approches transversales
, transfrontières
et «tous risques» devraient être privilégiées, sur la base d’objectifs de résilience à l’échelle de l’Union orientant la fixation d’un niveau de
référence de capacités et de préparation. La Commission travaille de concert avec les États membres
et le Parlement européen
pour définir les objectifs de résilience à l’échelle de l’Union
, et tient compte de tout plan opérationnel d’intervention d’urgence existant déjà au niveau national, régional ou local
.