Résolution sur les 30 ans des critères de Copenhague – donner un nouvel élan à la politique d’élargissement de l’Union européenne
📝 Amendement
17.
insiste sur l’importance de mener des
souligne que les appels aux
réformes internes
à
de
l’Union
parallèlement au processus d’élargissement, afin de renforcer la capacité de l’Union à intégrer
ne doivent pas compromettre le processus d’élargissement et que les institutions de l’Union disposent actuellement d’une capacité suffisante pour absorber
efficacement
les
de
nouveaux membres, comme le prévoient les conclusions du Conseil européen de Copenhague de 1993,
de
et pour
veiller à ce que le processus d’élargissement contribue positivement à la cohésion et à la stabilité globales de l’Union et
de renforcer
ne nécessite que
la
capacité
volonté
d’
action
agir
de l’Union
en réformant le processus décisionnel, notamment par
; refuse de lier l’élargissement à
l’introduction du vote à la majorité qualifiée, y compris pour les décisions en matière de politique étrangère et de sécurité et dans les domaines d’importance pour le processus d’adhésion
; demande, en particulier, la suppression de l’exigence d’unanimité lorsqu’il s’agit de la décision sur le début du processus de négociation, ainsi que l’ouverture et la clôture de différents groupes et chapitres de négociation, mais
, ce qui constitue une forme de chantage injuste et préjudiciable au processus d’élargissement; rappelle les nombreuses politiques malavisées de l’Union par le passé, en particulier celles à l’égard de la Russie, qui ont été particulièrement préjudiciables à ses voisins orientaux et qui n’auraient jamais dû être imposées à aucun État membre;
souligne que la décision finale portant sur l’adhésion de chaque pays candidat devrait rester unanime
; appelle en outre à garantir
; rappelle que les mécanismes et instruments existants permettront d’assurer
le bon fonctionnement d’une Union élargie dans son ensemble
; rappelle
et
qu’
il serait également possible de progresser en vue de supprimer le vote à l’unanimité en tirant pleinement parti des possibilités offertes par le traité de Lisbonne; rappelle que la mise en œuvre de réformes permettra d’assurer le bon fonctionnement d’une Union élargie dans son ensemble, parallèlement aux négociations d’adhésion avec les pays candidats, de telle sorte que l’Union soit prête
aucune réforme future ne peut donc être considérée comme une condition préalable à l’élargissement, étant donné que les institutions de l’Union sont déjà prêtes
à accueillir de nouveaux membres dans un délai raisonnable et au plus tard d’ici la fin de la décennie actuelle;