10.
réclame une législation ambitieuse sur le climat assortie non seulement d’un objectif contraignant au niveau national et dans
constate que l’Union a récemment adopté des textes législatifs visant à mettre en œuvre
l’
ensemble
objectif
de
l’économie, pour parvenir à zéro émission nette de gaz à effet de serre d’ici 2050 au plus tard, ainsi que d’objectifs intermédiaires de l’Union pour 2030 et 2040 à atteindre dans le cadre de ladite législation, au plus tard, au moment de son adoption par les colégislateurs, sur la base d’analyses d’impact, mais aussi d’un cadre de gouvernance solide; souligne que la législation sur le climat doit s’appuyer sur les meilleures données scientifiques disponibles, en vue de limiter le réchauffement de la planète à 1,5 ºC, et qu’il convient de la tenir à jour en fonction de l’évolution du cadre juridique de l’Union et du cycle de réexamen de l’accord de Paris; estime qu’il convient d’inclure également dans la législation sur le climat des volets spécifiques d’adaptation, notamment en exigeant de tous les États membres qu’ils adoptent des plans d’action pour l’adaptation;
40 % de réduction des émissions de gaz à effet de serre, qui a été approuvé à l’unanimité par le Conseil européen en 2014, et qu’elle s’emploie actuellement à la mise en œuvre de la législation en question; exprime par conséquent de sérieux doutes quant à la faisabilité politique et économique du projet annoncé par la Commission consistant à augmenter, moins de six ans plus tard, l’objectif de réduction pour 2030; B9-10042/2020 } B9-0043/2020 } B9-0045/2020 } RC1/Am. 28