Recommandation au Conseil, à la Commission et au SEAE sur la situation en Syrie
📝 Amendement
r) rappeler
que
qu’une partie de
la Syrie
ne
peut être considérée
, en tout ou en partie, comme un pays sûr
comme sûre
pour le retour de ses ressortissants vivant en Europe et dans le monde en tant que réfugiés et demandeurs d’asile
, lesquels
; remarquer que certaines personnes qui
ont fui les crimes du régime
et
risquent d’être la cible de tortures et de disparitions forcées
s’ils retournent en Syrie; réaffirmer aux pays d’accueil tels que la Turquie, le Liban, la Jordanie, l’Iraq et l’Égypte que la Syrie n’est pas un pays sûr, ni en totalité ni en partie, et que les ressortissants syriens ne peuvent donc pas y retourner en toute sécurité; souligner que chaque retour doit être volontaire et s’effectuer dans des conditions dignes
si elles retournent dans des zones contrôlées par le régime en Syrie
; souligner que certains Syriens ont fui les organisations terroristes qui sévissent en Syrie, telles que l’État islamique; souligner qu’il existe des zones en Syrie où des groupes djihadistes violents et des milices continuent de sévir; mettre en évidence les conséquences du conflit syrien pour les réfugiés palestiniens, dont le nombre est estimé à 438 000 et qui dépendent principalement de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) pour leurs besoins fondamentaux;
se déclarer préoccupé par la situation financière de l’Office et demander que les plans humanitaires de l’Union en Syrie tiennent davantage compte des réfugiés palestiniens;