Résolution sur le bilan de l’Année européenne de la jeunesse 2022

Procédure terminée

📌 Votes principaux

👍 Proposition de résolution
✅️ Adopté
🖐 Vote à main levée
24 novembre 2022

📚 Sources

🗃️ Données

📝 Amendement n°2 ❌️ Rejeté

8 bis. souligne qu’il est paradoxal que l’Année européenne de la jeunesse 2022 ait lieu la même année où de nombreux jeunes se retrouvent sans emploi en raison de stratégies désastreuses mises en œuvre par l’Union européenne et les responsables politiques;

Déposé par ECR

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🖐 Vote à main levée
📝 Amendement n°4 ❌️ Rejeté

19. souligne que la transition de l’école au monde du travail dépend dans une large mesure de la reconnaissance des diplômes, des qualifications ou des périodes d’apprentissage acquis par les jeunes à l’étranger; regrette que des obstacles persistent dans ce domaine et invite instamment la Commission et les États membres à rendre cette reconnaissance automatique, en tirant notamment parti des possibilités offertes par la numérisation; encourage les États membres à valider et reconnaître également les compétences et les aptitudes acquises grâce aux expériences d’apprentissage non formel et informel et à l’animation socio‑éducative parallèlement à l’éducation formelle dans l’ensemble de l’Union et en dehors de celle‑ci ; réaffirme que cela ne doit pas porter atteinte au droit à un enseignement supérieur de qualité;

Déposé par ECR

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🖐 Vote à main levée
📝 Amendement n°5 ❌️ Rejeté

20. souligne qu'investir dans les possibilités d'apprentissage des jeunes a un impact direct non seulement sur la vie future des jeunes en tant qu'individus, mais aussi sur la santé économique et la cohésion de la société dans son ensemble; insiste sur la nécessité de lutter contre les difficultés que rencontrent les jeunes qui sont victimes de discrimination ou qui sont moins favorisés pour accéder aux différents niveaux des cadres éducatifs formels, informels et non formels, notamment les jeunes femmes, les jeunes membres des communautés LGBTIQ+, les jeunes migrants, les jeunes demandeurs d’asile et réfugiés et les apprenants souffrant de handicaps et de déficiences; invite dès lors les États membres à augmenter considérablement les dépenses publiques consacrées à l’éducation, y compris l’éducation numérique, la formation professionnelle et éducative, le perfectionnement et la reconversion professionnels; invite la Commission à promouvoir des indicateurs communs afin d’évaluer l’incidence des investissements, y compris NextGenerationEU, et des réformes visant à faire progresser les politiques spécifiques en faveur de la jeunesse et de l’éducation issus de groupes défavorisés et vulnérables ainsi que les apprenants ayant des besoins éducatifs particuliers pour accéder aux différents niveaux des cadres éducatifs formels, informels et non formels; invite dès lors les États membres à augmenter considérablement les dépenses publiques consacrées à l’éducation, y compris l’éducation numérique, la formation professionnelle et éducative, le perfectionnement et la reconversion professionnels ;

Déposé par ECR

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🖐 Vote à main levée
🚫 Aucun amendement
Nicolas BAY | Reconquête!
. – J’ai voté contre ce texte malgré les 4 objectifs principaux de «l’Année européenne de la jeunesse» que je soutiens: aider les jeunes à surmonter la pandémie, à devenir des citoyens actifs, etc. Ce texte est trop politisé puisqu’il développe des concepts dangereux tels que les «modules de citoyenneté mondiale», ou le «racisme structurel». Il reconnait en outre que «le temps disponible n’a pas été suffisant pour mettre en œuvre une Année européenne significative et efficace» et, en insistant «sur la nécessité d’avoir une idée claire du financement exact de l’Année européenne par la Commission et les États membres», il reconnaît l’opacité dans les financements.
Dominique BILDE | Rassemblement national
J’ai voté contre ce texte.L’année européenne de la jeunesse a été instaurée à la suite du discours sur l’état de l’Union en 2021.Quatre objectifs y sont associés : les transitions écologique et numérique, le soutien à une citoyenneté active et engagée, la promotion de possibilités ouvertes aux jeunes et l’intégration des points de vue de la jeunesse dans les politiques de l’Union.En pratique, cette année n’aura servi qu’à poursuivre des objectifs fédéralistes, notamment en matière de reconnaissance automatique des diplômes, ce à quoi je ne suis pas favorable.Les événements et débats organisés dans ce cadre n’auront finalement touché qu’une proportion infime de la jeunesse européenne.
Geoffroy DIDIER | Les Républicains
Cette résolution vise à dresser le bilan de l’année européenne de la jeunesse, que la Commission a proclamé pour l’année 2022. Le texte émet des critiques concernant la précipitation avec laquelle cette opération a été menée, ce qui a eu un impact négatif sur la mise en place des projets attenants ainsi que sur les budgets alloués, très faibles. Les déclinaisons nationales ont, elle, été très rares. Partageant les observations de cette résolution, je me suis prononcé en sa faveur.
Sylvie GUILLAUME | Parti socialiste
J’ai voté en faveur de la résolution du Parlement européen tirant le bilan de l’année européenne de la jeunesse. Au regard d’une année relativement décevante, je soutiens la demande de la prolonger par des mesures concrètes jusqu’au 9 mai 2023 et de proposer des mesures visant à protéger les jeunes de l’inflation et de la flambée des prix du logement, qui entravent en particulier les plus défavorisés.
Brice HORTEFEUX | Les Républicains
J’ai voté en faveur de cette résolution qui dresse le bilan de l'Année européenne de la jeunesse, initiative lancée par la Commission européenne pour valoriser les jeunes, ainsi que leur contribution à la vie démocratique européenne et qui a eu lieu en 2022. Cette Année européenne de la jeunesse a malheureusement été adoptée de façon précipitée ; cela a notamment eu un impact négatif sur sa mise en place et sur l’absence de financement pour de nombreux projets. L'Année était très peu connue au niveau national et les initiatives qui se sont tenues ont été, dans la majorité des cas, prévues dans le cadre d'autres projets européens. Dans ce contexte, le Parlement européen demande la Commission de prolonger l'Année jusqu'au 9 mai 2023.
France JAMET | Rassemblement national
La volonté de la résolution est de forcer l’implémentation de l’espace européen de l’éducation 2025 contre laquelle je me suis toujours opposée.
Gilles LEBRETON | Rassemblement national
J’ai voté contre ce rapport car l’Année européenne de la jeunesse 2022 est un programme inutile qui n’a servi qu’à poursuivre une vieille idée fédéraliste : celle de créer une « citoyenneté mondiale et européenne » chargée de « démystifier les préjugés et construire une société plus inclusive ».
Nadine MORANO | Les Républicains
J’ai voté en faveur de cette résolution sur le bilan de l’Année européenne de la jeunesse 2022. Le texte souligne que cette initiative, dotée de 8 millions d’euros, a été adoptée précipitamment, ce qui a eu un impact négatif sur sa mise en place et le financement de nombreux projets. Il ajoute que cette année européenne a été très peu connue des citoyens européens. Par conséquent, il demande à la Commission de prolonger cette année de la jeunesse jusqu’au 9 mai 2023.
Anne SANDER | Les Républicains
Annoncée lors du discours sur l'état de l'Union 2021, l'Année européenne de la jeunesse fut lancée par la Commission européenne afin de valoriser les jeunes, ainsi que leur contribution à la vie démocratique européenne. Un budget de 8 millions d'euros a été alloué à cette initiative. Malheureusement, l’Année était très peu connue au niveau national et les initiatives qui se sont tenues ont été très souvent prévues dans le cadre d'autres projets européens. Dans ce contexte, la résolution demande la Commission de prolonger l'Année jusqu'au 9 mai, sans préjudice au lancement de "l'Année européenne des compétences", programmée pour l'année 2023. J’ai décidé de soutenir cette résolution.
Manon AUBRY | La France Insoumise
Cette résolution vise à présenter les observations et les recommandations du Parlement européen suite à l’année européenne de la jeunesse. Elle alerte notamment sur l’enjeu de la santé mentale des jeunes pendant la pandémie de COVID 19, appelle les Etats à mettre en oeuvre le droit fondamental des enfants à disposer d’une éducation de qualité et à des soins adaptés et demande à la Commission de proposer un cadre juridique garantissant la juste rémunération des stagiaires. Même si ce texte reste insuffisant pour prendre en compte l’ensemble des problématiques des jeunes et que trop peu de choses auront été faites pour cette année de la jeunesse, j’ai donc voté pour ce texte qui effectue des constats et des préconisations pertinents pour améliorer la situation de la jeunesse en Europe.
Jérôme RIVIÈRE | Reconquête!
. – J’ai voté contre ce texte malgré les 4 objectifs principaux de «l’Année européenne de la jeunesse» que je soutiens: aider les jeunes à surmonter la pandémie, à devenir des citoyens actifs, etc. Ce texte est trop politisé puisqu’il développe des concepts dangereux tels que les «modules de citoyenneté mondiale», ou le «racisme structurel». Il reconnait en outre que «le temps disponible n’a pas été suffisant pour mettre en œuvre une Année européenne significative et efficace» et, en insistant «sur la nécessité d’avoir une idée claire du financement exact de l’Année européenne par la Commission et les États membres», il reconnaît l’opacité dans les financements.
Agnès EVREN | Les Républicains
La Commission européenne a fait de 2022 «l’Année européenne de la jeunesse». L’objectif de cette initiative était de faire entendre la voix des jeunes européens et de les faire participer à différentes activités afin qu’ils soient impliqués dans la construction de notre Union. Cependant, l’Année européenne de la jeunesse n’a pas été à la hauteur de nos espérances tant sur la participation que sur les résultats obtenus. En effet, le manque de communication auprès du public visé et de préparation de l’évènement, dû au lancement très rapide de cette initiative, n’a pas permis de la réaliser dans les meilleures conditions. C’est pourquoi j’ai voté en faveur de la résolution sur l'héritage de l'Année européenne de la jeunesse 2022 qui vise à garantir que les jeunes soient d’avantage inclus dans des politiques et la prise de décision des politiques, à prendre des mesures en faveur du bien-être de la jeunesse européenne dont la lutte contre la précarité et leur assurer le meilleur départ possible dans la vie professionnelle. Enfin, je soutiens la demande de prolonger l'Année jusqu'au 9 mai, sans préjudice au lancement de «l'Année européenne des compétences», programmée pour l'année 2023.
Jean-Paul GARRAUD | Rassemblement national
. – L’année européenne de la jeunesse ne fut qu’une vaste blague. La volonté de la résolution est de forcer la mise en oeuvre de l’espace européen de l’éducation 2025 à laquelle nous sommes opposés. J’ai donc voté contre.
Catherine GRISET | Rassemblement national
. – Contre. Cette année à bien des égards ne fut qu’une vaste supercherie. La volonté de la résolution est de forcer l’implémentation de l’espace européen de l’éducation 2025 contre laquelle nous nous étions opposés. J’ai donc voté contre cette proposition de résolution.
Aurélia BEIGNEUX | Rassemblement national
Suite à l’annonce d’Ursula von der Leyen lors du discours sur l’état de l’Union en 2021, la Commission et le Parlement ont instauré 2022 l’année européenne de la jeunesse.Cette année n’a servi qu’à poursuivre les buts fédéralistes de l’UE, et la résolution à les rappeler à la Commission : imposer un cadre juridique commun pour les stages ; imposer la reconnaissance automatique des diplômes ; élaborer un module de citoyenneté mondiale et européenne dans les programmes nationaux pour « démystifier les préjugés et construire une société plus inclusive ».Par ailleurs, cette année n’aura été qu’une suite d’événements et de débats sans pluralité d’opinion qui n’aura touché qu’une part infinitésimale des jeunes. La Commission n’ayant reçu que 5000 réponses dans tous les États sur une enquête en ligne pour savoir ce que les jeunes attendaient de l’année, selon l’Insee l’UE compte 88 millions de jeunes.Cette année, à bien des égards, ne fut qu’une vaste fumisterie. La volonté de la résolution est de forcer l’implémentation de l’espace européen de l’éducation 2025 contre laquelle nous nous étions opposés.J’ai donc voté contre cette résolution.
Mathilde ANDROUËT | Rassemblement national
Suite à l’annonce d’Ursula von der Leyen lors du discours sur l’état de l’Union en 2021, la Commission et le Parlement ont instauré 2022 l’année européenne de la jeunesse. Cette année n’aura été qu’une suite d’événements et de débats sans pluralité d’opinion qui n’aura touché qu’une part infinitésimale des jeunes (déjà engagés politiquement dans le « camp progressiste »). La Commission n’a ainsi reçu que 5000 réponses dans tous les États sur une enquête en ligne pour savoir ce que les jeunes attendaient de l’année, selon l’Insee l’UE compte 88 millions de jeunes. La volonté de cette résolution est de forcer l’implémentation de l’espace européen de l’éducation 2025 contre laquelle nous nous étions opposés. J’ai voté contre.
Marina MESURE | La France Insoumise
Cette résolution fait le bilan de l’année européenne de la jeunesse. Elle en tire plusieurs conclusions et forme des recommandations. Les objectifs de l’année européenne étaient de donner des perspectives d’avenir à la jeunesse et de les aider à surmonter les effets de la pandémie, leur donner les moyens pour devenir des citoyens engagés, ainsi que mieux les informer des effets des politiques publiques européennes. Cette résolution revient également sur l’impact du changement climatique et de la hausse des prix. Elle formule principalement la demande d’un cadre juridique commun pour assurer une rémunération équitable des stages et des apprentissages. Elle revient également sur la nécessité de garantir des conditions de travail décentes et une rémunération équitable à tous les stagiaires afin d’éviter les pratiques d’exploitation. C’est pour tous ces points évoqués que j’ai décidé de voter en faveur de cette résolution.
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