L'Année européenne des compétences en 2023

Procédure terminée

📌 Votes principaux

📚 Sources

🗃️ Données

🚫 Aucun amendement
Dominique BILDE | Rassemblement national
J’ai voté contre ce texte.D’abord, je refuse de laisser la Commission s’ingérer dans nos politiques de formation, qui devraient rester la compétence exclusive des États Membres.Ensuite, dans le texte on retrouve la référence à la Loi Immigration discutée en France. Un paragraphe entier est consacré aux pénuries de main-d’œuvre permettant ainsi d’invoquer le Pacte des migrations comme moyen essentiel pour y remédier. Je m’oppose fermement à la création de nouveaux canaux d’immigration massive, qui provoquera encore plus d’insécurité sur nos rues.
Gilles LEBRETON | Rassemblement national
J’ai voté contre ce rapport car il s’ingère dans nos politiques de formation et prévoit des règlementations qui doivent au contraire être faites en fonction des stratégies et des besoins propres à chaque État
Nadine MORANO | Les Républicains
J’ai voté en faveur de ce rapport sur l’Année européenne des compétences en 2023. Cet accord de trilogue établit cette année européenne, qui sera essentiellement financée par les fonds européens FSE+, et s'étendra du 9 mai 2023 au 8 mai 2024. Ses objectifs seront essentiellement de promouvoir des investissements dans toutes les formes de reconversion et de perfectionnement, d’éducation et de formation afin d’exploiter pleinement le potentiel de la main-d’œuvre actuelle et future dans l’Union.
Anne SANDER | Les Républicains
J’ai décidé de voter en faveur de ce texte qui propose la mise en place d’une année européenne dédiée aux compétences. La publication de la proposition ayant été effectuée tardivement par la Commission européenne, celle-ci débutera officiellement le 9 mai 2023 et s’écoulera jusqu’au 8 mai 2024. Des ateliers seront organisés partout en Europe pour remédier aux inadéquations de compétences et aux pénuries de main-d’œuvre dans les secteurs clés de l’économie européenne avec une attention particulière accordée aux régions éloignées et rurales.
Manon AUBRY | La France Insoumise
Ce texte vise à faire de 2023 “l’année européenne des compétences” afin de promouvoir le renforcement des qualifications et la reconversion des travailleurs européens. C’est une initiative avant tout communicationnelle sans conséquences législatives concrètes mais qui pourra en revanche amener la question des salaires et des conditions de travail dans le débat européen. J’ai donc voté pour ce texte.
Leila CHAIBI | La France Insoumise
Ursula von der Leyen a annoncé dans son discours sur l’état de l’Union en septembre 2022 qu’elle souhaitait faire de 2023 «l'Année européenne des compétences» afin de promouvoir le renforcement des qualifications et la reconversion des travailleurs européens. Lors de la séance plénière du 30 mars, le Parlement était amené à se prononcer sur cette année des compétences.J’ai fait le choix de voter en faveur de cette proposition. Elle permet en effet de mettre en avant l’importance des compétences des travailleurs dans l’Union européenne. Même si l’Année européenne des compétences est avant tout une opération de communication et n’entraîne pas de conséquences directes dans la législation sociale de l’UE, elle peut placer au centre du débat européen les questions de salaire et de conditions de travail. Il faut également rappeler que le problème principal du chômage ne vient pas du manque de compétences des travailleurs mais du manque d’offres d’emploi avec des salaires dignes.
Christophe GRUDLER | Mouvement Démocrate
Annoncée par la Présidente de la Commission Ursula von der Leyen fin 2022, l’Année européenne des compétences sera l’occasion de mettre en avant la formation, l’apprentissage, et d’aider les entreprises, en particulier les PME, à remédier aux pénuries de compétences dans l’UE et à favoriser les reconversions.Je soutiens cette initiative de la Commission européenne qui inclut plusieurs priorités de mon groupe Renew Europe, comme la promotion des programmes de mobilité, la reconnaissance des compétences formelles et non formelles (‘soft skills’), et l’adaptation aux transitions verte et numérique.
Jérôme RIVIÈRE | Indépendant
. – J’ai voté contre ce texte qui est un fourre-tout de novlangue bureaucratique et progressiste servant à justifier toujours plus d’immigration. De plus, il est question d’harmoniser les politiques de formation professionnelle au sein de l’UE alors que les États membres n’ont absolument pas les mêmes besoins économiques.
Stéphane BIJOUX | Renaissance
J’ai soutenu ce texte qui fixe notre ambition politique pour l’Année européenne des compétences, dont le lancement est prévu le 9 mai 2023. Cette nouvelle initiative s’inscrit dans la continuité de l’Année européenne de la jeunesse qui a jalonné 2022.L’objectif est de développer l’emploi en misant sur la formation notamment des jeunes, sur les nouvelles compétences liées aux transitions écologiques et numériques, sur la promotion des programmes de mobilité européens. L’Année européenne des compétences défend une approche très inclusive, que ce soit pour le public visé, avec une attention forte accordée aux groupes vulnérables, ou pour sa dimension territoriale.Ainsi, le texte que nous avons voté reconnait les difficultés particulières des Régions Ultrapériphériques en termes d’accès à l’emploi et accorde une attention spécifique à l’inclusion et à la formation des habitants des territoires ultramarins. Il prévoit aussi une implication concrète des RUP dans le cadre de l’Année européenne des compétences.
Jean-Paul GARRAUD | Rassemblement national
. – J’ai voté contre ce texte car en dépit du constat que nous partageons sur l’enseignement, les formations, les pénuries de main d’œuvre et le manque de qualification de nombreux travailleurs, les solutions apportées ici sont contraires à notre position.En effet, en tentant d’encadrer le secteur de l’apprentissage et en poussant à la création de nouveaux canaux migratoires (via le pacte des Migrations), l’Union européenne risque de déstabiliser totalement la situation.Pour nous, les compétences nationales doivent rester exclusivement dans les mains des États et l’immigration doit être stoppée coûte que coûte! C’est en formant les Français d’abord que nous arriverons à inverser les choses dans l’intérêt des nôtres.
Catherine GRISET | Rassemblement national
. – Parallèlement à la question migratoire, je refuse de laisser la Commission s’ingérer dans nos politiques de formation. En nous expliquant qu’il faut avoir pour objectif «qu’au moins 60 % de la population adulte participant à une formation chaque année d’ici à 2030», l’UE impose des réglementations qui doivent se faire, au contraire, en fonction des besoins et des stratégies propres à chaque État. Des objectifs coûteux ne peuvent se fixer de manière technocratique et déconnectée. J’ai donc voté contre le rapport.
Aurélia BEIGNEUX | Rassemblement national
Partant d’une déclaration de la Commission européenne datée du 14 septembre 2022, l’année suivante (2023), a été consacrée sous les acclamations générales «Année européenne des compétences».On y trouve l’épineuse question de l’homogénéisation des programmes d’études universitaires ou encore des moyens donnés par les États à l’enseignement, profitant de l’occasion pour nous exposer ses vues sur la fameuse «citoyenneté active», un concept flou «made in UE» dont la visée politique justifie à elle seule les obscurs contours.En toile de fond de cette Année des compétences européennes, on retrouve le sujet sensible de la Loi Immigration discutée en France. En effet, un paragraphe entier est consacré aux pénuries de main-d’œuvre permettant ainsi d’invoquer le Pacte des migrations comme moyen essentiel pour y remédier. C’est absolument inacceptable.Nous nous opposons fermement à la création de nouveaux canaux d’immigration ainsi qu’à la volonté de régularisation des centaines de milliers de clandestins qui résident illégalement sur le territoire des États-membres au seul motif des pénuries d’emplois.Parallèlement à la question migratoire, nous refusons de laisser la Commission s’ingérer dans nos politiques de formation.J’ai donc voté contre ce rapport.
Mathilde ANDROUËT | Rassemblement national
. – Le rapport expose les grandes lignes de la politique européenne en matière de formation et d’enseignement et, en arrière-plan de cette «Année européenne des compétences», traite de la question migratoire, sachant qu’un paragraphe entier est consacré aux pénuries de main-d’œuvre permettant ainsi d’invoquer le Pacte des migrations comme moyen essentiel pour y remédier...Notre groupe refuse plus globalement de laisser la Commission s’ingérer dans nos politiques de formation, imposer des réglementations qui doivent se faire, au contraire, en fonction des besoins et des stratégies propres à chaque État. J’ai voté contre.
Annika BRUNA | Rassemblement national
J’ai voté contre ce rapport car je refuse de laisser la Commission s’ingérer dans nos politiques de formation.En nous expliquant qu’il faut avoir pour objectif qu’au moins 60 % de la population adulte participe à une formation chaque année d’ici à 2030, l’UE impose des réglementations qui doivent se faire, au contraire, en fonction des besoins et des stratégies propres à chaque État.Ces objectifs coûteux ne peuvent se fixer de manière technocratique et déconnectéeEnfin, je m’oppose à la création de nouveaux canaux d’immigration ainsi qu’à la volonté de régularisation des centaines de milliers de clandestins qui résident illégalement sur le territoire des États membres au seul motif des pénuries d’emplois.
Marina MESURE | La France Insoumise
Cette proposition de décision a pour objet la communication des conclusions relatives à l’Année européenne des compétences en 2023. Elle rapporte notamment des professions en situation de tensions ou de pénuries de main d’ouvre au sein de l’Union, notamment dans le secteur de la santé, de l’hôtellerie, de la restauration et de la construction. La décision fait mention des mauvaises conditions de travail et des salaires trop bas comme raisons possibles à certaines pénuries de main d’œuvre. Elle fait également état d’un manque de compétences numériques et promeut le renforcement des qualifications et de la reconversion des travailleurs. Elle pose notamment comme objectif la création d’emplois de qualité. Ainsi, au regard du bilan établi par la décision, j’ai décidé de voter en faveur de cette dernière.
🚫 Aucune explication de vote
🚫 Aucune intervention en plénière