Observatoire européen des drogues et des toxicomanies

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📌 Votes principaux

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🚫 Aucun amendement
Nicolas BAY | Reconquête!
. – J’ai voté contre ce texte. L’agence devrait se concentrer sur la détection et l’analyse des nouvelles drogues et des trafics ainsi que la prévention et le soin. La proposition actuelle s’éloigne largement de ces enjeux pour aborder «la dimension de genre», pour parler des droits de l’homme, pour imposer la coopération «avec la société civile et les associations de consommateurs de drogues» sans que l’on sache si cela ira jusqu’à la promotion des salles de shoot, pour travailler autour de la réinsertion... De plus, pour couvrir toutes ces nouvelles missions qui font perdre l’essentiel de vue, l’agence sera dotée de 63 millions d’euros et de 40 fonctionnaires supplémentaires.
Dominique BILDE | Rassemblement national
J’ai voté pour cet accord provisoire.Certes, je ne suis pas favorable au principe de la création de nouvelles agences. Mais, dans le cas d’espèce, il s’agit uniquement d’une transformation d’une agence utile en matière de coopération entre États membres, sur un sujet d’intérêt général: celui des toxicomanies.C’est d’autant plus vrai que la situation semble, de ce point de vue, se détériorer au sein de l’Union européenne, avec des volumes de cocaïne et d’héroïne introduits à des niveaux inédits.
Geoffroy DIDIER | Les Républicains
Ce texte vise à transformer l'actuel Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT) en agence pour les questions liées aux drogues. Le texte propose de faire en sorte que la future agence puisse réagir efficacement aux nouveaux défis, apporter un meilleur soutien aux États membres et contribuer aux développements au niveau international. Favorable à un engagement plus important de l'Union européenne pour lutter contre les défis liée aux drogues, je me suis prononcé en faveur de ce texte.
Brice HORTEFEUX | Les Républicains
J’ai voté en faveur de ce texte qui vise à transformer l'actuel Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT) en véritable Agence de l'Union pour les questions liées aux drogues. Pour ce faire, il procède à l'élargissement de son mandat, notamment dans le domaine de la coopération internationale, et à l'accroissement de ses moyens.
Fabienne KELLER | Renaissance
Je soutiens l’adoption de ce rapport qui transforme l'Observatoire européen des drogues et des toxicomanies en une agence européenne à part entière. Cette agence voit son mandat renforcé pour mieux réagir à l’émergence et la prolifération des nouvelles drogues au sein de l’Union. Elle continuera à fournir des analyses scientifiques sur les drogues, les toxicomanies et leurs conséquences via des moyens accrus.Ce nouveau mandat prévoit aussi des priorités que je défends avec mon groupe Renew Europe. Par exemple, un renforcement du rôle de la société civile dans la prévention face aux drogues, la coopération policière avec les pays candidats, plus de transparence, et un équilibre femmes-hommes au sein de l’agence.
Gilles LEBRETON | Rassemblement national
J’ai voté pour ce rapport car il vise à accorder à la nouvelle agence européenne de surveillance des drogues un plus grand rôle en matière de lutte et de prévention contre les phénomènes toxicomaniaques.
Emmanuel MAUREL | Gauche républicaine et socialiste
L’Agence de l’Union européenne pour les questions liées aux drogues a pour mission de fournir à l’Union et à ses États membres des informations factuelles, objectives, fiables et comparables au niveau européen sur les drogues et la toxicomanie et leurs conséquences. Les données fournies doivent servir à l’élaboration des politiques et orienter les initiatives destinées à lutter contre la drogue.En ce sens, ce règlement vise à renforcer le mandat de cette agence en lui permettant de réagir efficacement aux nouveaux défis, de fournir un meilleur soutien aux États membres et de contribuer aux développements internationaux.Il souhaite également renforcer ses capacités de surveillance et d’évaluation des menaces grâce à un traitement des données plus performant.L’Agence pourra également développer des campagnes de prévention et de sensibilisation au niveau de l’Union, primordiales pour émettre des alertes en cas de substances dangereuses sur le marché.Ainsi, ces mesures visent à améliorer la surveillance, l’analyse et la réaction de l’Agence de l’Union européenne face aux menaces et aux tendances émergentes.En raison de l’importance du sujet et de ses méfaits, il m’a donc semblé essentiel de voter en faveur de ce règlement relatif à l’Agence européenne pour les questions liées aux drogues.
Nadine MORANO | Les Républicains
J’ai voté en faveur de ce rapport sur l’Agence de l’Union européenne sur les drogues (EUDA). Le texte vise à transformer l'actuel Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT) en véritable Agence de l'Union pour les questions liées aux drogues. Pour ce faire, il procède à l'élargissement de son mandat, notamment dans le domaine de la coopération internationale, et à l'accroissement de ses moyens.
Anne SANDER | Les Républicains
Le Parlement a approuvé l’accord résultant des négociations interinstitutionnelles visant à actualiser le mandat de l’OEDT, l’agence européenne d’observatoire des drogues et des toxicomanies, pour la rendre plus efficace face aux défis d’aujourd’hui. Les drogues sont un problème complexe de sécurité, de santé et leur consommation, et même leur production, ne font qu’augmenter au sein de l’Union européenne. La transparence de l’Agence européenne des drogues et la nécessité de mener des recherches et de collecter des données dans le but de pouvoir tenir compte des perspectives d’âge et de genre ont aussi été mis en avant par le Parlement. Des dispositions supplémentaires ont aussi été introduites pour assurer le dialogue avec les organisations de la société civile.J’ai décidé de voter en faveur de cet accord.
Manon AUBRY | La France Insoumise
Ce rapport vise à renforcer le mandat de l’observatoire européen des drogues et des toxicomanies qui doit débuter sa mission en janvier 2024. Il prévoit notamment de développer la coopération avec les organisations de la société civile, renforcer la transparence de fonctionnement, garantir l’implication du parlement européen, et d’intégrer la dimension sociale et de genre dans les travaux de l’agence. J’ai donc voté pour ce texte.
Jérôme RIVIÈRE | Indépendant
. – J’ai voté contre ce texte. L’agence devrait se concentrer sur la détection et l’analyse des nouvelles drogues et des trafics ainsi que la prévention et le soin. La proposition actuelle s’éloigne largement de ces enjeux pour aborder « la dimension de genre », pour parler des droits de l’homme, pour imposer la coopération « avec la société civile et les associations de consommateurs de drogues » sans que l’on sache si cela ira jusqu’à la promotion des salles de shoot, pour travailler autour de la réinsertion... De plus, pour couvrir toutes ces nouvelles missions qui font perdre l’essentiel de vue, l’agence sera dotée de 63 millions d’euros et de 40 fonctionnaires supplémentaires.
Jean-Paul GARRAUD | Rassemblement national
. – Notre délégation n’est par principe pas favorable à la création de nouvelles agences. Mais il s’agit ici seulement d’une transformation et qui plus est d’une agence qui fait œuvre utile en matière de coopération entre États membres dans la connaissance approfondie des toxicomanies et dans la lutte contre ces phénomènes. J’ai donc voté pour.
Jordan BARDELLA | Rassemblement national
. – Le rapport de la commission LIBE met en évidence que l'Agence devrait surveiller de manière globale le phénomène de la drogue dans l'Union. Cela inclut la collecte d'indicateurs couvrant la santé publique, la sûreté et la sécurité, les meilleures pratiques, les approches innovantes, ainsi que les tendances de consommation de drogues, les troubles associés, la polyconsommation de substances et ses conséquences. Les responsabilités des points focaux nationaux ont été élargies et le rapport appelle à un engagement accru avec la société civile. J’ai voté en faveur de ce texte.
Catherine GRISET | Rassemblement national
. – La consommation de drogue et la circulation au sein de l’Union Européenne n’ont fait que s’accélérer ces dernières années. Pour cela la Commission européenne souhaite transformer l’Agence européenne des drogues en une véritable agence européenne autour des questions des drogues. Nous ne sommes généralement pas pour la création d’agences, mais il s’agit ici de la transformation d’un organe déjà existant et les drogues sont un sujet très préoccupant, que ce soit pour la santé ou la sécurité des États membres. C’est pourquoi, malgré quelques réticences, nous soutenons ce projet pour le développement de l’Union européenne mais aussi pour approfondir la coopération dans la connaissance de ce milieu. J’ai donc voté en faveur mais nous attendons beaucoup de ce nouvel organe.
Aurélia BEIGNEUX | Rassemblement national
Les drogues illicites constituent un problème complexe de sécurité et de santé publique qui touche des millions de personnes dans l'Union européenne et dans le monde. La situation se détériore, les volumes de cocaïne et d'héroïne introduits n'ayant jamais été aussi élevés, 213 tonnes de cocaïne et 5.1 tonnes d’héroïne ont été saisies en 2020 au sein de l’Union européenne. Face à cela, la Commission propose de renforcer le mandat de l'Observatoire européen des drogues et des toxicomanies. Le mandat de la nouvelle Agence devrait couvrir les marchés de la drogue et les questions d'approvisionnement qui sont nécessaires pour comprendre les impacts du phénomène sur la santé publique, réduire la disponibilité et freiner la demande.Notre délégation n’est, par principe, pas favorable à la création de nouvelles agences. Mais il s’agit ici seulement d’une transformation et qui plus est d’une agence qui fait œuvre utile en matière de coopération entre États membres dans la connaissance approfondie des toxicomanies et dans la lutte contre ces phénomènes. Il faudra toutefois veiller à ce que cette agence traite de problèmes réels.J’ai donc voté en faveur de ce texte.
Mathilde ANDROUËT | Rassemblement national
. – Les drogues illicites constituent un problème complexe de sécurité et de santé publique qui touche des millions de personnes dans l'UE et dans le monde. La situation se détériore, les volumes de cocaïne et d'héroïne introduits dans l'UE n'ont jamais été aussi élevés. Notre délégation n’est par principe pas favorable à la création de nouvelles agences. Mais dans ce cas précis, il s’agit d’une transformation et qui plus est d’une agence qui fait œuvre utile en matière de coopération entre États membres et dans la lutte contre ces phénomènes. J’ai voté pour.
Annika BRUNA | Rassemblement national
J’ai voté en faveur de ce texte car il s’agit ici seulement d’une transformation d’agence et qui plus est d’une agence qui fait œuvre utile en matière de coopération entre États membres dans la connaissance approfondie des toxicomanies et dans la lutte contre ces phénomènes.L'Agence devrait surveiller, entre autres, le phénomène de la drogue dans l'Union de manière globale, par le biais d'indicateurs couvrant les aspects de santé publique, de sûreté et de sécurité, les meilleures pratiques et les approches innovantes, les tendances dans et hors de l'Union en ce qui concerne la consommation de drogues, les troubles liés à cette consommation et la polyconsommation de substances.
Marina MESURE | La France Insoumise
Le rapport a pour objet un règlement visant à renforcer le mandat de l'Observatoire européen des drogues et des toxicomanies, afin de garantir que la future agence puisse réagir efficacement aux nouveaux défis, fournir un meilleur soutien aux États membres et contribuer aux développements au niveau international. Le rapport acte une meilleure coopération avec les organisations de la société civile et un accent plus équilibré sur la dimension sanitaire, sociale et des droits humains. Des exigences supplémentaires en matière de transparence et de consultation du Parlement dans la nomination du directeur exécutif ont été mises en place. De plus, la mention du traitement de rétablissement a été ajoutée dans le champ d’application de l’Agence. Ainsi, c’est pour toutes ces raisons que j’ai décidé de voter en faveur de ce rapport.
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