Résolution sur les résidus chimiques dans la mer Baltique, sur la base des pétitions n° 1328/2019 et 0406/2020

Procédure terminée

📌 Votes principaux

👍 Adoption du texte
✅️ Adopté

🇪🇺 Députés européens

660
8
25

🇫🇷 Députés français🗳 Voir le vote

71
6
Parmi 79 députés, 77 ont votés.
26 avril 2021

📚 Sources

🗃️ Données

🚫 Aucun amendement
Nicolas BAY | Rassemblement national
. – Le texte apporte des solutions pragmatiques, et préconise des mécanismes de coopération qui laissent un rôle important aux États membres, et en particulier à ceux qui sont les plus concernés par les impacts liés aux résidus chimiques dans la mer Baltique. J’ai donc voté pour.
Dominique BILDE | Rassemblement national
J’ai voté pour cette résolution, qui souligne la menace incarnée par les résidus chimiques en mer Baltique.
Geoffroy DIDIER | Les Républicains
Cette résolution se base sur deux pétitions visant à mettre en avant les conséquences des résidus chimiques présents en mer Baltique. Après la Seconde guerre mondiale, des munitions sont restées dans la mer Baltique. Il est donc nécessaire de renforcer la surveillance des munitions immergées, de réduire au minimum les risques potentiels pour les activités et le milieu marin, d’aménager des financements adéquats. Pour cela, la Commission doit créer avec les États membres concernés un groupe d’experts qui pourra évaluer l’impact et proposer des solutions. J’ai voté en faveur de cette résolution.
France JAMET | Rassemblement national
J’ai voté en faveur de ce texte qui apporte des solutions pragmatiques et préconise des mécanismes de coopération qui laissent un rôle important aux États membres, et en particulier à ceux qui sont les plus concernés.
Gilles LEBRETON | Rassemblement national
J’ai voté pour cette résolution car les résidus chimiques dans la mer Baltique sont une menace pour l’environnement ainsi que pour la santé des consommateurs des produits de la pêche. Ils pourraient à terme mettre plusieurs filières en péril économique. Le texte apporte des solutions pragmatiques, et préconise des mécanismes de coopération qui laissent un rôle important aux États membres, et en particulier à ceux qui sont les plus concernés.
Emmanuel MAUREL | Gauche républicaine et socialiste
Ce texte a pour but de donner suite à plusieurs pétitions qui ont alerté à propos de la pollution chimique engendrée par les armes immergées dans la mer Baltique depuis la Seconde Guerre mondiale. Alors que le texte initial réclamait une restauration et une préservation de l’écosystème baltique, il a ensuite été modifié par certains députés pour des motifs idéologiques aux antipodes de ceux auxquels nous, la gauche, croyons collectivement. De plus, la mention faite de l’OTAN est aussi inutile que politiquement orientée, ce qui traduit bien l’atlantisme ambiant qui règne au sein de l’UE, et qui nous empêche de bâtir une véritable souveraineté européenne. Puisque le texte d’origine a été en partie dénaturé, j’ai choisi de m’abstenir.
Joëlle MÉLIN | Rassemblement national
La résolution souligne l’aspect global du problème: les résidus chimiques dans la Mer Baltique sont une menace à la fois pour l’environnement, pour la santé des consommateurs des produits de la pêche, et pourrait à terme mettre plusieurs filières en péril économique. Le texte apporte des solutions pragmatiques, et préconise des mécanismes de coopération qui laissent un rôle important aux États membres, et en particulier à ceux qui sont les plus concernés. J'ai donc voté pour.
Nadine MORANO | Les Républicains
J’ai voté en faveur de ce rapport relatif aux résidus chimiques dans la mer Baltique. Ce texte fait suite à deux pétitions reçues et étudiées par la commission des Pétitions au Parlement européen. Les pétitions rappellent que 13 000 tonnes d’agents chimiques de guerre ont été déversées dans la mer Baltique après la Seconde Guerre Mondiale, ce qui représente une menace sérieuse pour l’écosystème baltique. Le texte demande de renforcer la surveillance des munitions immergées et d’encourager tous les types de coopération aux niveaux régional, national et international pour dépolluer la Baltique.
Manon AUBRY | La France Insoumise
Cette résolution vise à présenter les propositions du Parlement européen face à la pollution chimique engendrée par les armes chimiques immergées en mer Baltique depuis la seconde guerre mondiale. Elle alerte à raison sur cette bombe à retardement écologique, demande un suivi adapté de l’état d’érosion des matériels militaires concernés et appelle les États à agir pour éviter une catastrophe en termes de biodiversité. Elle reste en revanche floue sur le cadre et le niveau de financements européens qui devraient être alloués aux dispositifs nécessaires de restauration de l’environnement. Je me suis donc abstenue sur ce texte qui établit des constats pertinents mais ne présente pas d’engagements suffisants pour y répondre.
Manuel BOMPARD | La France Insoumise
À l’issue de la Seconde guerre mondiale, les vainqueurs décident en 1945 à la conférence de Potsdam de détruire les munitions chimiques des belligérants, notamment les tonnes d’armes produites par l’Allemagne nazie, en les immergeant dans des étendues d’eau. Au total, l’on estime à près de trois milliards de tonnes d’armes, chimiques et conventionnelles, qui auraient été coulées en mer du Nord et en Baltique. Or avec le temps l’oxydation fait son œuvre sur ces armes jetées en mer. Ainsi, les tonneaux et les douilles rouillent, libérant peu à peu leurs substances toxiques: ypérite (gaz moutarde), arsenic, phosgène, chloropicrine… Il s’agit d’une véritable bombe à retardement avec des conséquences écologiques potentiellement désastreuses. En effet, selon l’Institut océanographique de Moscou, il suffirait qu’un sixième de ces substances s’échappent dans la Baltique pour éradiquer toute forme de vie sous-marine pendant un siècle. Cette résolution porte sur ce problème très grave mais ne liste aucune proposition d’action ou de recherche complémentaires et se contente de demander l’implication de l’OTAN, dont on a du mal à saisir la plus-value écologique et scientifique. Cette résolution répond si mal à ce problème que je préfère m’abstenir.
Jérôme RIVIÈRE | Rassemblement national
J'ai voté en faveur de ce texte, qui cherche à apporter des solutions concrètes et pragmatiques au problème des résidus chimiques en mer Baltique.
Agnès EVREN | Les Républicains
J’ai apporté mon soutien à la résolution sur les résidus chimiques déversés dans la mer Baltique après la Seconde guerre mondiale. Cette résolution est issue de deux pétitions débattues en commission des pétitions. Dans ce texte, nous appelons notamment la Commission européenne à s’engager dans la lutte contre la pollution en mer Baltique afin de réduire au minimum les risques potentiels pour le milieu et les activités marins. À cette fin, nous devons encourager tous les types de coopération aux niveaux régional, national et international pour que soient mesurés les impacts de ces déchets et ainsi proposer des solutions appropriées, respectueuses de l’environnement.
Jean-Paul GARRAUD | Rassemblement national
. – J’ai voté pour cette résolution car elle a le mérite de souligner l’aspect global du problème: les résidus chimiques en mer Baltique constituent une menace à la fois pour l’environnement, pour la santé des consommateurs des produits de la pêche et pourraient à terme mettre plusieurs filières en péril économique. Le texte apporte des solutions pragmatiques et préconise des mécanismes de coopération qui laissent un rôle important aux États membres, en particulier à ceux qui sont les plus concernés.
Virginie JORON | Rassemblement national
La résolution a le mérite de souligner l’aspect global du problème: les résidus chimiques dans la mer Baltique sont une menace à la fois pour l’environnement, pour la santé des consommateurs des produits de la pêche, et pourraient à terme mettre plusieurs filières en péril économique. Le texte apporte des solutions pragmatiques et préconise des mécanismes de coopération qui laissent un rôle important aux États membres, et en particulier à ceux qui sont les plus concernés. J’ai voté pour.
Jordan BARDELLA | Rassemblement national
La résolution a le mérite de souligner l’aspect global du problème : les résidus chimiques dans la mer Baltique sont une menace à la fois pour l’environnement, pour la santé des consommateurs des produits de la pêche, et pourraient à terme mettre plusieurs filières en péril économique. Le texte apporte des solutions pragmatiques, et préconise des mécanismes de coopération qui laissent un rôle important aux États membres, et en particulier à ceux qui sont les plus concernés. J'ai donc voté pour.
Hélène LAPORTE | Rassemblement national
Depuis la fin de la Seconde guerre mondiale, plus de 5 000 tonnes d’armes et munitions conventionnelles et d’armes chimiques ont été jetées dans la mer Baltique. Une fois immergées, ces munitions se dégradent lentement et diffusent des substances nuisibles aux écosystèmes marins et à la biodiversité, mais aussi à la santé humaine en raison de la contamination potentielle du poisson. Face à cette situation, le programme pour la région de la mer Baltique, cofinancé par l’UE et la Norvège, a financé depuis 2011 à hauteur de 10 millions d’euros trois programmes: CHEMSEA, DAIMON et DAIMON 2. Ces programmes ont pour but d’étudier la localisation de ces résidus chimiques, l’évolution de leur dégradation et de formuler des recommandations aux États concernés. Le texte apporte des solutions pragmatiques, et préconise des mécanismes de coopération qui laissent un rôle important aux États membres, et en particulier à ceux qui sont les plus concernés. J’ai voté en faveur de cette résolution qui a le mérite de souligner l’aspect global du problème: les résidus chimiques dans la mer Baltique sont une menace à la fois pour l’environnement et pour la santé des consommateurs des produits de la pêche.
Aurélia BEIGNEUX | Rassemblement national
. – Depuis la fin de la Seconde guerre mondiale, plus de 5 000 tonnes d’armes et munitions conventionnelles et d’armes chimiques ont été jetées dans la mer Baltique. Ces munitions se dégradent lentement et diffusent des substances nuisibles aux écosystèmes marins et à la biodiversité, mais aussi à la santé humaine. La résolution souligne l’importance d’une cartographie précise et d’un suivi régulier de l’état de corrosion des munitions immergées en mer Baltique et invite à la coopération entre États. Elle propose également la mise en place, avec les États membres concernés, d’un groupe d’experts chargé de cartographier les zones touchées, de proposer des solutions appropriées et de mener une campagne de sensibilisation pour mieux informer les résidents locaux des risques pour la santé et l’économie. Enfin, le texte regrette que les 8,8 millions d’euros alloués à l’instrument européen de voisinage n’aient aucunement été utilisés pour financer les projets DAIMON, dédiés à la lutte contre cette pollution.Le texte apporte des solutions pragmatiques, et préconise des mécanismes de coopération qui laissent un rôle important aux États membres, et en particulier à ceux qui sont les plus concernés. C’est pourquoi j’ai voté pour.
Mathilde ANDROUËT | Rassemblement national
Depuis 1945, des milliers de tonnes d’armes, de munitions conventionnelles et d’armes chimiques ont été jetées dans la mer Baltique. Une fois immergées, ces munitions se dégradent lentement et diffusent des substances nuisibles. Face à cette situation, le programme pour la région de la mer Baltique, cofinancé par l’UE et la Norvège, a versé depuis 2011 près de 10 millions d’euros à trois programmes d’étude de la localisation de ces résidus chimiques. Ce problème est également du ressort de l’OTAN. La résolution souligne très justement l’aspect global du problème : les résidus chimiques dans la mer Baltique constituent une triple menace : pour l’environnement, pour la santé des consommateurs des produits de la pêche, et à terme pour la pérennité de plusieurs filières économiques. Le texte apporte des solutions pragmatiques, et préconise des mécanismes de coopération qui laissent un rôle important aux États membres, et en premier lieu aux pays les plus concernés. J’ai voté pour.
Annika BRUNA | Rassemblement national
J’ai voté en faveur de cette proposition de résolution qui souhaite apporter des solutions concrètes aux résidus chimiques répandus dans la mer Baltique suite aux armes, munitions et armes chimiques jetées dans la mer depuis la fin de la seconde guerre mondiale.Cette pollution des eaux représente une réelle menace pour les écosystèmes marins, la biodiversité et la santé humaine via la contamination potentielle du poisson.Pour lutter contre cette pollution, le texte suggère la mise en place d’un groupe d’experts chargé de cartographier les zones touchées, de proposer des solutions appropriées et de mener une campagne de sensibilisation pour mieux informer les groupes concernés (résidents locaux, pêcheurs, touristes...) des risques pour la santé et l’économie.
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