Décharge 2020 : Agence de l’Union européenne pour la cybersécurité (ENISA)

Procédure terminée

📌 Votes principaux

👍 Proposition de résolution
✅️ Adopté

🇪🇺 Députés européens

560
47
34

🇫🇷 Députés français🗳 Voir le vote

49
18
Parmi 79 députés, 67 ont votés.
4 mai 2022

📚 Sources

🗃️ Données

🚫 Aucun amendement
Nicolas BAY | Reconquête!
. – J’ai voté contre cette résolution qui soutient une agence qui a montré ses carences en terme de cybersécurité, notamment pendant la crise de la COVID-19, et qui coûte de l’argent pour un résultat non satisfaisant.
Dominique BILDE | Rassemblement national
J'ai voté contre la décharge et la résolution.Cette agence, censée assurer la cybersécurité, a été elle-même piratée. Son fonctionnement n'est donc, vraisemblablement, pas optimal.
Geoffroy DIDIER | Les Républicains
. – J’ai voté en faveur de cette décharge budgétaire, car l’Agence de l’Union européenne pour la cybersécurité, sur laquelle le Parlement a statué, semble avoir fait preuve d’une bonne gestion financière. La Cour des comptes européenne n’a relevé aucune déficience notable dans les domaines liés aux ressources humaines et aux marchés publics en ce qui concerne l’Agence de l’Union européenne pour la cybersécurité.
Gilles LEBRETON | Rassemblement national
J’ai voté contre cette décharge, car cette agence n’est pas assez efficace dans son domaine de la cybersécurité. Pour preuve: l’Agence européenne des médicaments a été piratée durant la crise de la COVID-19.
Emmanuel MAUREL | Gauche républicaine et socialiste
Conformément aux traités, le Parlement dispose d'un droit de contrôle annuel sur la légalité et la régularité des dépenses de fonctionnement des institutions et des agences. L'objectif principal de la procédure de décharge est de garantir que les fonds publics sont utilisés de la meilleure manière possible.Créée en 2004, L’ENISA contribue à la politique de l’UE en matière de cybersécurité. Elle élabore des schémas européens de certification de cybersécurité afin de renforcer la confiance dans les produits, services et processus numériques. Elle coopère avec les pays et organes de l’UE et aide l'UE à se préparer aux défis futurs en matière de cybersécurité.J’ai décidé de voter en faveur de la résolution qui était préoccupée du manque d’équilibre hommes-femmes au sein de l’encadrement supérieur de l’Agence, avec 8 postes sur 9 (soit 88,9 %) occupés par des hommes. Elle relevait également qu’elle a adopté une politique de protection de la dignité de la personne et de prévention du harcèlement et qu’elle s’est employée à mettre en œuvre les critères d’attribution des marchés publics écologiques dans sa documentation relative aux appels d’offres.
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L’Agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l’information, ENISA, a été créé pour aider l’Union européenne (UE) et les États membres à être mieux équipés et préparés pour prévenir et détecter les problèmes de sécurité de l’information et y répondre.Cette agence, qui doit pouvoir permettre la coopération des États membres pour relever les défis grandissants en matière de sécurité informatique, peut avoir son utilité. La Cour des Comptes s’est félicitée de «l’utilité» de cette Agence pendant la crise de la COVID-19, puisqu’elle nous aurait apparemment protégés d’attaques: on se rappellera tout de même que l’EMA avait été piratée durant la crise... À l’heure où l’UE semble se réveiller sur la question sensible des données, de leur protection et de la cybersécurité dans son ensemble, cette agence fournit un travail en deçà des besoins et présente donc un bilan insuffisant.J’ai donc voté contre cette décharge.
Nadine MORANO | Les Républicains
J’ai voté en faveur de la décharge budgétaire de l’Agence de l’Union européenne pour la cybersécurité (ENISA) pour l’année 2020 et en faveur de la résolution politique qui l’accompagne. Le texte rappelle que l’Agence a réagi à la pandémie de COVID-19 en jouant un rôle clé pour empêcher les cyberacteurs malveillants de tirer parti de la crise sanitaire. Il déplore que l’Agence ait reporté son projet d’adoption d’une nouvelle politique en matière de postes sensibles.
Aurélia BEIGNEUX | Rassemblement national
L’Agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l’information (ENISA) aide l’Union européenne et les États membres à être mieux équipés et préparés pour prévenir et détecter les problèmes de sécurité de l’information. En 2020, le budget de cette agence s’élevait à 21 682 883 EUR (hausse de 28,05 % par rapport à 2019).Avec l’extension de son mandat à la cybersécurité, l’Agence doit recruter, ce qui est difficile en Grèce. En plus de cela, les rapports de la Cour des comptes font état de faiblesses dans les procédures de passation de marchés et notent que les structures d’appui aux contrôles internes et à la conformité paraissaient «fragmentées et faibles».Cette agence, qui permet la coopération des États membres pour relever les défis grandissants en matière de sécurité informatique, peut avoir son utilité. La Cour des comptes se félicite de «l’utilité» de cette Agence pendant la crise de la COVID-19, puisqu’elle nous aurait apparemment protégés d’attaques: on se rappellera quand même que l’EMA a été piratée durant la crise... À l’heure où l’UE semble se réveiller sur la question sensible des données, cette agence se doit d’être à son maximum, et ce n’est pour l’instant pas le cas.J’ai donc voté contre cette décharge.
Annika BRUNA | Rassemblement national
J’ai voté contre la décharge en faveur de l’Agence de l’Union européenne pour la cybersécurité (ENISA). Cette agence permet la coopération des États membres pour relever les défis grandissants en matière de sécurité informatique. La Cour des comptes européenne se félicite de «l’utilité» de cette Agence pendant la crise de la COVID-19, puisqu’elle nous aurait protégés d’attaques.
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