Les défis à relever pour les zones urbaines à l'ère post-COVID-19

Procédure terminée

📌 Votes principaux

👍 Proposition de résolution
✅️ Adopté

🇪🇺 Députés européens

524
33
143

🇫🇷 Députés français🗳 Voir le vote

48
31
Parmi 79 députés, 79 ont votés.
15 février 2022

📚 Sources

🗃️ Données

🚫 Aucun amendement
Dominique BILDE | Rassemblement national
Je me suis abstenue sur ce texte, qui vise à instituer des fonds supplémentaires et à favoriser un «code de conduite pour les partenariats entre les villes, les ONG et les associations en charge de l’inclusion sociale ou des droits fondamentaux».Certains problèmes évoqués sont réels, notamment en ce qui concerne l’accessibilité des handicapés ou encore le chômage des jeunes.
Brice HORTEFEUX | Les Républicains
Ce dossier comporte de nombreux éléments positifs axés sur divers secteurs de société pour soutenir les zones urbaines à faire face à l’après-pandémie.Cependant, le texte reprend des éléments excessifs sur le genre et fait de ce rapport une caricature qui n’aidera aucunement les communautés urbaines à relever leurs défis. Le rapport a malheureusement été pris en otage par ces prises de position démesurées de la gauche. C’est pourquoi je me suis abstenu sur le texte final.
Gilles LEBRETON | Rassemblement national
Je me suis abstenu sur ce rapport. Certes, il fait preuve de bon sens en encourageant la reprise économique dans les villes et dans les métropoles. Mais il cède hélas aux lubies habituelles de l’UE en souhaitant qu’elles deviennent plus «inclusives» et sensibles au «genre».
Nadine MORANO | Les Républicains
Je me suis abstenue sur ce rapport d’initiative relatif aux défis à relever pour les zones urbaines à l’ère post-COVID-19. Le texte contenait des dispositions intéressantes, telle que l’invitation faite à l’ensemble des États membres de ratifier la convention d’Istanbul sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes, ou encore la promotion de mesures permettant d’économiser l’énergie dans les villes. Il était toutefois vicié par plusieurs biais idéologiques, entretenant par exemple la confusion entre migrants et réfugiés. Il appelait d’ailleurs à mobiliser davantage de moyens financiers pour l’intégration des migrants dans les villes européennes. Enfin, il remettait en cause le droit de propriété en critiquant la pratique des expulsions forcées. Je ne pouvais donc le soutenir.
Manon AUBRY | La France Insoumise
Ce rapport vise à présenter les observations et les recommandations du Parlement européen face aux grands défis rencontrés par les villes européennes. Il insiste notamment sur la nécessité de lutter contre les inégalités territoriales, de garantir le droit au logement des habitants et d’accélérer la transformation écologique des villes à travers l’évolution des mobilités et le développement de l’économie circulaire et des énergies renouvelables. J’ai donc voté pour ce texte, qui va dans le sens d’une meilleure prise en compte des enjeux écologiques et sociaux au sein des villes européennes.
Agnès EVREN | Les Républicains
La surconcentration de la population européenne dans les régions urbaines constitue un facteur connu d’aggravation des problèmes de circulation, de pollution, de consommation énergétique, du défi croissant du logement abordable et des inégalités sociales. Pour pallier ces conséquences, le rapport appelle ainsi à renforcer le rôle européen des villes en tirant les enseignements de la pandémie, et ce, alors que l’Union européenne ne possède pas de compétence explicite relative au développement urbain. En effet, le rapport prend le parti que de nombreuses initiatives européennes peuvent avoir des incidences sur les villes, les agglomérations et les «zones urbaines fonctionnelles». Si je soutiens de nombreux paragraphes du rapport – ceux portant notamment sur l’amélioration de l’accès aux soins de santé, l’accessibilité pour les personnes handicapées, le soutien au secteur culturel, la lutte contre le sans-abrisme ou encore la lutte contre les violences domestiques –, je considère cependant que de nombreuses dispositions ne respectent pas le principe de subsidiarité. C’est pourquoi je me suis abstenue sur ce rapport sur les défis à relever pour les zones urbaines à l’ère post-COVID-19.
Jean-Paul GARRAUD | Rassemblement national
. – Je me suis abstenu sur ce rapport, car, s’il propose à tort un «code de conduite pour les partenariats entre les villes, les ONG et les associations en charge de l’inclusion sociale ou des droits fondamentaux», il aborde dans le même temps des sujets importants tels que l’accessibilité des handicapés, le chômage des jeunes, le développement des transports ou encore la lutte contre la pandémie.
Hélène LAPORTE | Rassemblement national
La pandémie affecte durablement les villes, avec des taux de contamination plus élevés, des ressources souvent insuffisantes et une activité économique en déclin. Les inégalités se sont accrues. La relance économique ne doit donc pas se concentrer uniquement sur les conséquences négatives du coronavirus, mais aussi sur les vulnérabilités de longue date de ces villes. Le texte rappelle que les métropoles sont des «piliers économiques» de l’économie mondialisée et qu’il est important qu’elles continuent à stimuler la croissance et à créer des emplois. Ce texte est profondément imprégné d’idéologie mondialiste, immigrationniste et inclusive. Des moyens supplémentaires sont réclamés pour les villes et les zones urbaines denses alors que celles-ci sont déjà les principales bénéficiaires de fonds structurels européens de la politique de cohésion. Certains compromis sont promigrants ou prominorités. Cependant, d’autres cherchent à accroître la connectivité des villes, y compris les villes de taille moyenne. Le texte traite de la crise démographique, la crise climatique, la crise des migrants, la parité, la pandémie, le chômage des jeunes, les différences générationnelles et les inégalités sociales, l’accessibilité pour les personnes handicapées, les zones LGBT-free, le tout pour «concevoir des villes et des communautés inclusives, sensibles à la dimension de genre». Je me suis donc abstenue sur ce texte.
Aurélia BEIGNEUX | Rassemblement national
La pandémie affecte les villes, avec des taux de contamination plus élevés, des ressources souvent insuffisantes et une activité économique en déclin. La relance économique ne doit donc pas se concentrer uniquement sur les conséquences négatives du coronavirus, mais aussi sur les vulnérabilités de longue date de ces villes. Le texte rappelle que les métropoles sont des «piliers économiques» de l’économie mondialisée et qu’il est important qu’elles continuent à stimuler la croissance et à créer des emplois.Le rapport est profondément imprégné d’idéologie mondialiste, immigrationniste, inclusive, en soutien total à la métropolisation. Des moyens supplémentaires sont réclamés pour les villes et les zones urbaines denses alors que celles-ci sont déjà les principales bénéficiaires des fonds structurels européens de la politique de cohésion. Certains compromis sont promigrants ou prominorités. Cependant, d’autres cherchent à accroître la connectivité des villes, y compris les villes de taille moyenne.Le texte traite de la crise démographique, la crise climatique, la crise des migrants, la parité, la pandémie, le chômage des jeunes, les différences générationnelles et les inégalités sociales, l’accessibilité pour les personnes handicapées, les zones LGBT-free, le tout pour «concevoir des villes et des communautés inclusives, sensibles à la dimension de genre». Le texte présenté ajoute à la version initiale des éléments en faveur de l’idéologie LGBT ou de la condamnation de la Pologne pour les zones «LGBT-free».Pour ces raisons je me suis abstenue.
Annika BRUNA | Rassemblement national
Ce rapport propose des fonds supplémentaires pour les villes et les associations, au titre de l’inclusion sociale ou des droits fondamentaux. S’il englobe les problématiques liées à l’accessibilité des handicapés, au chômage des jeunes, au développement des transports ou à la lutte contre la pandémie, le texte comprend néanmoins des dispositions favorables aux migrants. Je me suis donc abstenue.
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