Année européenne de la jeunesse 2022

Procédure terminée

📌 Votes principaux

↩️ Renvoi en commission
✅️ Approuvé
🖐 Vote à main levée
14 décembre 2021

📚 Sources

🗃️ Données

📝 Amendement n°3 ✅️ Adopté

Pour information, le texte de la déclaration est l «Déclaration commune du Parlement européen européenne de la jeunesse (2022) - Décision (U Le Parlement européen et le Conseil sont conve relatif à la mise en œuvre de l’Année européen Ce montant sera composé, d’une part, de 3 mill européen de solidarité pour 2022 et, d’autre par programme Erasmus + pour 2022. En outre, les colégislateurs sont attachés à ce q durable au-delà de 2022. Sans préjudice des co conformité avec l’article 314 du traité sur le fo financement supplémentaire au-delà de 2022 d pluriannuel 2021-2027. * JO: prière d’insérer la référence de la décision publiée série L (procédure 2021/0328(COD)).» 1 bis. approuve la déclaration commune du Parlement européen et du Conseil annexée à la présente résolution; e suivant: et du Conseil sur le financement de l’Année E) 2021/... * nus de fixer le budget opérationnel minimum ne de la jeunesse (2022) à 8 millions d’euros. ions d’euros issus du budget annuel du corps t, de 5 millions provenant du budget annuel du ue ladite année européenne laisse une marque mpétences de l’autorité budgétaire, en nctionnement de l’Union européenne, tout evra être déterminé au sein du cadre financier le même jour au Journal officiel de l’Union européenne,

Déposé par la commission compétente

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📝 Amendement n°4 ✅️ Adopté

Pour information, la déclaration est libellée co Déclaration de la Commission sur le financeme (2022) - Décision (UE) 2021/...* La Commission prend acte que les colégislateu opérationnel minimal de 8 millions d’euros pou la jeunesse (2022), ce qui n’exclut pas que des programmes et instruments de l’Union puissent d’euros. En outre, la Commission réalisera tout au long régulièrement et où elle exposera les contributi instruments de l’Union à la mise en œuvre de l’ compte des activités menées. Un état d’avance émanant des programmes de l’Union sera régul Conseil. Ces contributions devront être considé venant en sus du budget opérationnel minimum * JO: prière d’insérer la référence de la décision publiée l série L (procédure 2021/0328(COD)). 1 ter. prend acte des déclarations de la Commission annexées à la présente résolution, qui seront publiées au Journal officiel de l’Union européenne, série C; mme suit: nt de l’Année européenne de la jeunesse rs sont convenus d’établir un budget r la mise en œuvre de l’Année européenne de contributions complémentaires d’autres venir s’ajouter à ce montant de 8 millions de l’année un inventaire qu’elle actualisera ons possibles et effectives des programmes et Année européenne de la jeunesse et rendra ment du déploiement des contributions ièrement présenté au Parlement européen et au rées comme des apports complémentaires de 8 millions d’euros. e même jour au Journal officiel de l’Union européenne,

Déposé par la commission compétente

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🚫 Aucun amendement
Nicolas BAY | Rassemblement national
. – Ce texte entend faire de l’année 2022 une « Année européenne de la jeunesse 2022 ». Si d’un côté il tire les enseignements de la crise COVID notamment en matière de chômage des jeunes, il s’égare néanmoins sur des thèmes qui n’ont rien à voir tel que l’idéologie du genre ou bien les partenariats éducatifs avec des pays d’Orient. Je me suis abstenu.
Dominique BILDE | Rassemblement national
Je me suis abstenue sur ce texte.De nombreuses dispositions, relatives, notamment, aux stages non rémunérés, sont certes positives. Mais je ne suis pas favorable, notamment, à la reconnaissance automatique des diplômes et des qualifications - revendication qui est portée par ce texte.
France JAMET | Rassemblement national
Ce texte poursuit un but louable : le développement d’une jeunesse mieux éduquée, mieux épanouie et qui participe à la vie démocratique de l’Europe. Malheureusement, en plus d’un budget de 12 millions d’euros, toute la doxa européiste transcende cette proposition.Je me suis donc abstenue.
Gilles LEBRETON | Rassemblement national
Je me suis abstenu sur ce rapport. Certes, son intention est louable : celle de former une jeunesse mieux éduquée participant à la vie démocratique européenne. Malheureusement, les lubies européistes habituelles sont mises en avant comme l'Accord de Paris ou la théorie du genre.
Emmanuel MAUREL | Gauche républicaine et socialiste
Ursula Von der Leyen veut faire de 2022 l’année européenne de la jeunesse. Cette initiative est positive. Les jeunes ont subi de plein fouet la pandémie et leurs vies ont été profondément bouleversées au cours des deux dernières années : cours à distance, insertion professionnelle fortement compromise, précarité alimentaire.Mais aucune mesure concrète et adaptée à ces urgences ne se dessine malgré une budgétisation de 8 millions d’euros. Il est question d’activités, de conférences, d’événements, mais il n’est pas question d’initiatives précises sur les sujets les plus importants sur lesquels l’UE dispose d’une compétence, notamment via le FSE (par exemple l’accès à l’emploi).Enfin, le rapport opère des distinctions malheureuses entre jeunes. Ainsi, à l’article 13, le « Parlement européen condamne la pratique des stages non rémunérés lorsqu’ils ne sont pas liés à l’obtention de diplômes ». Je défends quant à moi l’idée que les stages doivent toujours être rémunérés et toujours se dérouler dans le cadre de l’obtention d’un diplôme, sans quoi, il ne s’agit plus d’un stage mais d’un emploi. Je me suis donc abstenu sur le texte.
Nadine MORANO | Les Républicains
J’ai voté en faveur de ce rapport relatif à l’Année européenne de la jeunesse 2022. Cet accord de trilogue proclame l’année 2022 « Année européenne de la jeunesse », avec pour objectif de redonner des perspectives positives aux jeunes, en mettant particulièrement l’accent sur les effets négatifs que la pandémie de COVID-19 a eu sur eux, notamment en intégrant la politique en faveur de la jeunesse dans tous les domaines pertinents de la politique de l’Union.
Manon AUBRY | La France Insoumise
Ce rapport vise à valider le cadre d’organisation de l’année européenne de la jeunesse en 2022 et ses priorités d’action. Il insiste à raison sur les conséquences du COVID sur la santé mentale des jeunes, demande une mise en œuvre véritable du socle européen des droits sociaux et appelle à renforcer la garantie européenne pour la justesse. Il ignore en revanche l’enjeu de l’ouverture du droit de vote à partir de 16 ans et se refuse à défendre la rémunération de l’intégralité des stagiaires. Je me suis donc abstenue sur ce texte qui présente des constats intéressants mais reste trop timoré dans ses préconisations.
Manuel BOMPARD | La France Insoumise
. – Lors de son discours sur l’État de l’Union, Ursula von der Leyen a annoncé vouloir faire de 2022 l’Année européenne de la jeunesse. Cette résolution est assez générale et insiste notamment sur le rôle de la jeunesse dans plusieurs domaines, ainsi que sur l’effet négatif de la pandémie de Covif-19 sur la jeunesse. Toutefois, ce rapport contient une formulation particulièrement maladroite puisqu’elle demande à interdire la pratique des stages non rémunérés lorsqu’ils ne sont pas liés à l’obtention de diplômes. Or je considère que les stages doivent toujours être rémunérés et toujours se dérouler dans le cadre de l’obtention d’un diplôme, sans quoi, il ne s’agit plus d’un stage mais d’un emploi. Devant le manque d’ambition de ce rapport, et au vu de cette formulation malheureuse, je préfère ne pas soutenir ce texte.
Laurence FARRENG | Mouvement Démocrate
L’Année européenne de la Jeunesse a été votée à une large majorité au Parlement européen ce mardi 14 décembre. Négociatrice pour le groupe Renew Europe je m'en félicite.Cette année vise à accélérer le déploiement des politiques européennes vers les jeunes et surtout à les impliquer directement dans le processus démocratique.Annoncée en septembre par la Présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, cette année a pour objectif d’apporter des solutions concrètes aux jeunes après des mois de pandémie, et d’opportunités manquées dans le domaine des études, de la formation, de l’accès à l’emploi, de leur vie sociale. D’entendre aussi leur détresse en s’attaquant au sujet de la santé mentale.Le renforcement démocratique européen est aussi au coeur du sujet alors que certains États Membres basculent vers l’illibéralisme, remettant en question l’indépendance de la justice, des médias et le droit des femmes.
Christophe GRUDLER | Mouvement Démocrate
La Présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, l’avait annoncé lors de son dernier discours sur l’état de l’Union au Parlement européen le 15 septembre 2021 : l'année 2022 sera dédiée à la Jeunesse !Avec mes collègues du groupe Renew Europe, je suis ravi d’avoir voté cette résolution, qui demande à ce que les jeunes soient davantage intégrés dans l’élaboration des politiques européennes et nationales et que le programme de cette année soit co-créé avec eux. Des activités et des initiatives centrées sur les jeunes dans tous les États membres devront être organisées en 2022, avec un budget dédié, et des compléments budgétaires pour Erasmus+ et le Corps européen de solidarité afin de renforcer ces initiatives.
Jérôme RIVIÈRE | Rassemblement national
Je me suis abstenu sur ce texte qui, s'il poursuit le but louable d'une jeunesse mieux éduquée et participant davantage à la vie démocratique de l'Eurioe, est dominée par des parti pris idéologiques sur l'Agenda des Natins Unies, les Accords de Paris sur le Climat ou encore l'idéologie du genre.
Stéphane BIJOUX | Renaissance
J’ai voté en faveur de cet accord qui précise les modalités de l’Année européenne de la jeunesse qui aura lieu en 2022. Notre jeunesse a dû consentir à de nombreux sacrifes. Nos jeunes sont courageux, audacieux, talentueux, et nous allons miser sur eux tout au long de l’année à venir. L’Europe continuera d’ouvrir de nouveaux horizons pour sa jeunesse, sur le continent comme dans les Outre-mer, avec Erasmus+, le Corps européen de solidarité ou encore le futur programme ALMA. La Présidence française du Conseil de l’UE envisage même la création d’un service civique européen. Je m’assurerai que cette Année européenne mette en valeur la jeunesse ultramarine.
Valérie HAYER | Renaissance
J'ai voté en faveur de ce rapport portant sur l'année européenne de la jeunesse, annoncée par la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, lors de son discours sur l'état de l'Union en septembre 2021. Le Parlement est satisfait de l'accord sorti des négociations avec le Conseil et la Commission et le rapport a été largement adopté. Cette année sera construite conjointement avec les acteurs de la société civile afin de cibler les attentes principales de la jeunesse européenne et de cibler des initiatives pour redonner aux jeunes les opportunités perdues au cours de la crise sanitaire. Il s'agit par ailleurs de permettre aux jeunes de faire entendre leurs voix au niveau européen ainsi que de mieux les inclure dans nos processus démocratiques.
Agnès EVREN | Les Républicains
La pandémie de COVID-19 a confronté les jeunes européens à de nombreux défis, à la fois inédits et inégaux en matière d’accès à l’éducation et à l’emploi, de vie sociale et culturelle, et de participation à la citoyenneté, ainsi que de santé mentale. Afin de pallier à ces difficultés multiples, la Présidente de la Commission européenne a proposé que l’année 2022 soit celle de la jeunesse. J’ai évidemment fortement appuyé ce texte qui définit les objectifs et les priorités de cette Année européenne de la jeunesse. Celle-ci sera l’occasion de faire entendre la voix des jeunes citoyens européens, de les associer à nos initiatives, et de guider nos actions. J’ai principalement soutenu une hausse du budget de huit millions d’euros pour les programmes Erasmus+ et du Corps européen de solidarité afin de soutenir les activités de cette année. Enfin, je salue la création de la nouvelle initiative ALMA, reflet d’Erasmus+, qui permettra aux jeunes défavorisés âgés de 18 à 30 ans d’avoir une expérience professionnelle dans un autre État membre.
Jean-Paul GARRAUD | Rassemblement national
. – Je me suis abstenu sur ce rapport car s’il poursuit un but louable : le développement d’une jeunesse mieux éduquée, mieux épanouie et qui participe à la vie démocratique de l’Europe, toute la doxa européiste est présente dans cette proposition : l’Agenda 2030 des Nations unies, l’Accord de Paris, l’égalité des « genres » et le développement de partenariats avec la « jeunesse des pays candidats et des pays du voisinage méridional et oriental » qui n’ont pourtant rien à faire ici.
Virginie JORON | Rassemblement national
Je me suis abstenue sur ce rapport. Certes, son intention est louable : celle de former une jeunesse mieux éduquée participant à la vie démocratique européenne. Malheureusement, les lubies européistes habituelles sont mises en avant comme l'Accord de Paris ou la théorie du genre.
Catherine GRISET | Rassemblement national
. – Je me suis abstenue sur ce rapport. Certes, son intention est louable : celle de former une jeunesse mieux éduquée participant à la vie démocratique européenne. Malheureusement, les lubies européistes habituelles sont mises en avant comme l'Accord de Paris ou la théorie du genre.
Hélène LAPORTE | Rassemblement national
L’objet du texte est simple : que l’année 2022 soit proclamée « Année européenne de la jeunesse 2022 » ; comme il y avait eu, ces précédentes années, l’Année européenne du rail en 2021, l’Année européenne du patrimoine culturel en 2018 ou encore l’Année européenne des citoyens en 2013-2014. En dédiant l’année 2022 à la jeunesse, le texte souhaite ainsi « encourager la participation des jeunes à la vie démocratique de l’Europe », leur assurer un meilleur avenir, leur redonner des perspectives positives post pandémie et faire en sorte que la jeunesse devienne une priorité horizontale intégrée dans toutes les politiques de l’Union. Les mesures passent par des conférences, des manifestations ou encore la promotion de leur participation dans certains programmes. Ce texte poursuit un but louable : le développement d’une jeunesse mieux éduquée, mieux épanouie et qui participe à la vie démocratique de l’Europe. Malheureusement, en plus d’un budget de 12 millions d’euros, toute la doxa européiste transcende cette proposition : l’Agenda 2030 des Nations unies, l’Accord de Paris, la reconnaissance mutuelle et automatique des diplômes, l’égalité des genres et le développement de partenariats avec la « jeunesse des pays candidats et des pays du voisinage méridional et oriental ». Je me suis donc abstenue sur ce texte.
Aurélia BEIGNEUX | Rassemblement national
L’objet du texte est simple : que l’année 2022 soit proclamée « Année européenne de la jeunesse 2022 ».En dédiant l’année 2022 à la jeunesse, le texte souhaite ainsi « encourager la participation des jeunes à la vie démocratique de l’Europe », leur assurer un meilleur avenir, leur redonner des perspectives positives postpandémie et faire en sorte que la jeunesse devienne une priorité horizontale intégrée dans toutes les politiques de l’Union. Les mesures passent par des conférences, des manifestations ou encore la promotion de leur participation dans certains programmes.Le texte souhaite que cette année de la jeunesse contribue à mettre au point des partenariats avec la « jeunesse des pays candidats et des pays du voisinage méridional et oriental » et les « groupes vulnérables et marginalisés ».Malheureusement, en plus d’un budget de 12 millions d’euros, toute la doxa européiste transcende cette proposition : l’Agenda 2030 des Nations unies, l’Accord de Paris, la reconnaissance mutuelle et automatique des diplômes, l’égalité des genres et le développement de partenariats avec la « jeunesse des pays candidats et des pays du voisinage méridional et oriental ».Je me suis donc abstenue.
Mathilde ANDROUËT | Rassemblement national
Le texte souhaite que l’année 2022 soit proclamée « Année européenne de la jeunesse 2022 » ; comme il y avait eu, ces précédentes années, l’Année européenne du rail en 2021, l’Année européenne du patrimoine culturel en 2018 ou encore l’Année européenne des citoyens en 2013-2014. Ce texte poursuit un but louable: le développement d’une jeunesse mieux éduquée, mieux épanouie et qui participe à la vie démocratique de l’Europe. Malheureusement, en plus d’un budget de 12 millions d’euros, toute la doxa européiste irrigue cette proposition: l’Agenda 2030 des Nations unies, l’Accord de Paris, la reconnaissance mutuelle et automatique des diplômes, l’égalité des genres et le développement de partenariats avec la « jeunesse des pays candidats et des pays du voisinage méridional et oriental » ... Je me suis abstenue.
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Laurence FARRENG | Mouvement Démocrate

Nous avons obtenu un budget consolidé. Nous avons obtenu la contribution de tous les grands programmes européens pour mettre la jeunesse au cœur des politiques européennes. Nous avons obtenu que les jeunes soient dans l’action et nous avons obtenu que cette année 2022 ait une suite.

Ce n’est qu’un début. Maintenant, il faut faire de l’Année européenne une année marquante et une année efficace. 2022 doit rendre aux jeunes les opportunités perdues à cause de la pandémie. Tous les domaines de leur vie doivent être considérés: accès à l’emploi, à la formation, à leur santé psychologique, aux programmes de l’Union existants – et je souligne l’effort qui a été fait pour Erasmus+, pour l’ouvrir davantage et le rendre plus accessible – et changement climatique, bien sûr. Enfin et surtout, comment leur garantir que l’Union européenne demeurera un grand espace démocratique alors que la justice, les médias, l’accès à l’avortement, les droits des LGBT sont menacés dans certains pays européens?

Pour réussir, il faut que tout le monde s’implique et je pense notamment aux villes et aux régions qui ont un grand rôle pour amener cette année européenne en proximité. Cette Année européenne de la jeunesse ne doit pas être une année de communication, mais une année d’action qui doit avoir une suite. Je compte sur la Commission. Ce Parlement et moi-même y veillerons.

Salima YENBOU | Les Écologistes

J’ai entamé ces négociations avec un objectif en tête: que cette Année ne soit pas un exercice de communication, un festival par-ci, une conférence par-là où les politiques répètent que notre jeunesse est une source d’inspiration, l’avenir de l’Europe et qu’elle mérite mieux. Je veux des actes illustrant les belles paroles et les promesses, et cette volonté a été largement partagée, ce qui nous a permis de parvenir à un bon accord.

Je me suis battue pour une Année inclusive qui promeut l’égalité des genres et met les personnes les plus marginalisées au centre. Une Année qui renforce la coopération et le dialogue avec nos jeunes voisins de l’Europe. Une Année qui ne se contente pas de célébrer les jeunes, mais qui appelle leur contribution active.

J’ai entendu par ailleurs la forte demande des jeunes de mettre fin aux stages non rémunérés. J’aurais aimé voir cette demande mise à l’œuvre à l’occasion de l’Année européenne de la jeunesse. Je ne baisse cependant pas les bras et je continuerai à faire avancer cette question et me battre pour y mettre fin. Nous veillerons aussi à ce que la Commission et les États membres tiennent leurs engagements. Je lance un appel particulier, forcément, à la présidence française du Conseil de l’UE, sous laquelle se déroulera la moitié de cette Année, ainsi que la conclusion de la conférence sur l’avenir de l’Europe.

Nos jeunes nous parlent, crient depuis des années. Quelques-uns d’entre nous écoutons, mais nous ne sommes pas assez nombreux. Rejoignez-nous. Nous devons saisir cette occasion pour faire de cette Année de la jeunesse le lancement d’un changement positif des politiques pour avoir un impact durable sur la vie, la santé et l’avenir des jeunes mis à mal par la COVID-19.

Célébrons nos jeunes et donnons-leur les moyens de nous dire l’Europe qu’ils souhaitent et de vivre pleinement leur jeunesse.

Agnès EVREN | Les Républicains

– Monsieur le Président, Madame la Commissaire, je ne peux naturellement que m’associer aux prises de parole précédentes et remercier les négociateurs d’être parvenus si rapidement à un accord sur l’Année européenne de la jeunesse 2022.

Les jeunes Européens sont le moteur de l’Europe de demain, mais la crise de la COVID-19 a enrayé leurs élans. Entre confinement et mesures sanitaires, certains vivent parfois l’isolement, le décrochage, voire la précarité. Cette Année européenne de la jeunesse doit donc être l’occasion de faire entendre leur voix, de les associer à nos initiatives et de guider nos actions.

L’un des grands objectifs de cette année - qui m’occupe tout, particulièrement, au sein de la commission des pétitions - est la participation des jeunes au processus décisionnel de l’Union européenne. Le droit de pétition, l’initiative citoyenne européenne ou encore le droit de saisir le médiateur européen doivent être autant d’outils entre leurs mains pour leur permettre de s’engager davantage dans la vie de l’Union européenne.

En tant que députés, nous avons un rôle primordial: celui d’aider les jeunes à acquérir une meilleure compréhension des diverses possibilités qui leur sont offertes, que ce soit au niveau européen, national, régional ou local.

Je pense également au programme Erasmus+, qui fêtera ses 35 ans en 2022, et qui jouera un rôle central dans la mise en œuvre et le financement des activités de cette Année européenne de la jeunesse.

Alors que la présidence française de l’Union européenne débutera en janvier 2022, je serai pleinement engagée en faveur de notre jeunesse pour que cette année soit un réel succès. Les actions que nous mettrons en place ne devront d’ailleurs pas se cantonner à l’année 2022, car les jeunes sont notre priorité et notre avenir.

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