Année européenne de la jeunesse 2022
📌 Votes principaux
📚 Sources
- ℹ️ Procédure 2021/0328(COD)
- 📜 Textes et amendements
- 🗳 Votes
🗃️ Données
Pour information, le texte de la déclaration est l «Déclaration commune du Parlement européen européenne de la jeunesse (2022) - Décision (U Le Parlement européen et le Conseil sont conve relatif à la mise en œuvre de l’Année européen Ce montant sera composé, d’une part, de 3 mill européen de solidarité pour 2022 et, d’autre par programme Erasmus + pour 2022. En outre, les colégislateurs sont attachés à ce q durable au-delà de 2022. Sans préjudice des co conformité avec l’article 314 du traité sur le fo financement supplémentaire au-delà de 2022 d pluriannuel 2021-2027. * JO: prière d’insérer la référence de la décision publiée série L (procédure 2021/0328(COD)).»
1 bis. approuve la déclaration commune du Parlement européen et du Conseil annexée à la présente résolution; e suivant: et du Conseil sur le financement de l’Année E) 2021/... * nus de fixer le budget opérationnel minimum ne de la jeunesse (2022) à 8 millions d’euros. ions d’euros issus du budget annuel du corps t, de 5 millions provenant du budget annuel du ue ladite année européenne laisse une marque mpétences de l’autorité budgétaire, en nctionnement de l’Union européenne, tout evra être déterminé au sein du cadre financier le même jour au Journal officiel de l’Union européenne,
Déposé par la commission compétente
Pour information, la déclaration est libellée co Déclaration de la Commission sur le financeme (2022) - Décision (UE) 2021/...* La Commission prend acte que les colégislateu opérationnel minimal de 8 millions d’euros pou la jeunesse (2022), ce qui n’exclut pas que des programmes et instruments de l’Union puissent d’euros. En outre, la Commission réalisera tout au long régulièrement et où elle exposera les contributi instruments de l’Union à la mise en œuvre de l’ compte des activités menées. Un état d’avance émanant des programmes de l’Union sera régul Conseil. Ces contributions devront être considé venant en sus du budget opérationnel minimum * JO: prière d’insérer la référence de la décision publiée l série L (procédure 2021/0328(COD)).
1 ter. prend acte des déclarations de la Commission annexées à la présente résolution, qui seront publiées au Journal officiel de l’Union européenne, série C; mme suit: nt de l’Année européenne de la jeunesse rs sont convenus d’établir un budget r la mise en œuvre de l’Année européenne de contributions complémentaires d’autres venir s’ajouter à ce montant de 8 millions de l’année un inventaire qu’elle actualisera ons possibles et effectives des programmes et Année européenne de la jeunesse et rendra ment du déploiement des contributions ièrement présenté au Parlement européen et au rées comme des apports complémentaires de 8 millions d’euros. e même jour au Journal officiel de l’Union européenne,
Déposé par la commission compétente
Nous avons obtenu un budget consolidé. Nous avons obtenu la contribution de tous les grands programmes européens pour mettre la jeunesse au cœur des politiques européennes. Nous avons obtenu que les jeunes soient dans l’action et nous avons obtenu que cette année 2022 ait une suite.
Ce n’est qu’un début. Maintenant, il faut faire de l’Année européenne une année marquante et une année efficace. 2022 doit rendre aux jeunes les opportunités perdues à cause de la pandémie. Tous les domaines de leur vie doivent être considérés: accès à l’emploi, à la formation, à leur santé psychologique, aux programmes de l’Union existants – et je souligne l’effort qui a été fait pour Erasmus+, pour l’ouvrir davantage et le rendre plus accessible – et changement climatique, bien sûr. Enfin et surtout, comment leur garantir que l’Union européenne demeurera un grand espace démocratique alors que la justice, les médias, l’accès à l’avortement, les droits des LGBT sont menacés dans certains pays européens?
Pour réussir, il faut que tout le monde s’implique et je pense notamment aux villes et aux régions qui ont un grand rôle pour amener cette année européenne en proximité. Cette Année européenne de la jeunesse ne doit pas être une année de communication, mais une année d’action qui doit avoir une suite. Je compte sur la Commission. Ce Parlement et moi-même y veillerons.
J’ai entamé ces négociations avec un objectif en tête: que cette Année ne soit pas un exercice de communication, un festival par-ci, une conférence par-là où les politiques répètent que notre jeunesse est une source d’inspiration, l’avenir de l’Europe et qu’elle mérite mieux. Je veux des actes illustrant les belles paroles et les promesses, et cette volonté a été largement partagée, ce qui nous a permis de parvenir à un bon accord.
Je me suis battue pour une Année inclusive qui promeut l’égalité des genres et met les personnes les plus marginalisées au centre. Une Année qui renforce la coopération et le dialogue avec nos jeunes voisins de l’Europe. Une Année qui ne se contente pas de célébrer les jeunes, mais qui appelle leur contribution active.
J’ai entendu par ailleurs la forte demande des jeunes de mettre fin aux stages non rémunérés. J’aurais aimé voir cette demande mise à l’œuvre à l’occasion de l’Année européenne de la jeunesse. Je ne baisse cependant pas les bras et je continuerai à faire avancer cette question et me battre pour y mettre fin. Nous veillerons aussi à ce que la Commission et les États membres tiennent leurs engagements. Je lance un appel particulier, forcément, à la présidence française du Conseil de l’UE, sous laquelle se déroulera la moitié de cette Année, ainsi que la conclusion de la conférence sur l’avenir de l’Europe.
Nos jeunes nous parlent, crient depuis des années. Quelques-uns d’entre nous écoutons, mais nous ne sommes pas assez nombreux. Rejoignez-nous. Nous devons saisir cette occasion pour faire de cette Année de la jeunesse le lancement d’un changement positif des politiques pour avoir un impact durable sur la vie, la santé et l’avenir des jeunes mis à mal par la COVID-19.
Célébrons nos jeunes et donnons-leur les moyens de nous dire l’Europe qu’ils souhaitent et de vivre pleinement leur jeunesse.
– Monsieur le Président, Madame la Commissaire, je ne peux naturellement que m’associer aux prises de parole précédentes et remercier les négociateurs d’être parvenus si rapidement à un accord sur l’Année européenne de la jeunesse 2022.
Les jeunes Européens sont le moteur de l’Europe de demain, mais la crise de la COVID-19 a enrayé leurs élans. Entre confinement et mesures sanitaires, certains vivent parfois l’isolement, le décrochage, voire la précarité. Cette Année européenne de la jeunesse doit donc être l’occasion de faire entendre leur voix, de les associer à nos initiatives et de guider nos actions.
L’un des grands objectifs de cette année - qui m’occupe tout, particulièrement, au sein de la commission des pétitions - est la participation des jeunes au processus décisionnel de l’Union européenne. Le droit de pétition, l’initiative citoyenne européenne ou encore le droit de saisir le médiateur européen doivent être autant d’outils entre leurs mains pour leur permettre de s’engager davantage dans la vie de l’Union européenne.
En tant que députés, nous avons un rôle primordial: celui d’aider les jeunes à acquérir une meilleure compréhension des diverses possibilités qui leur sont offertes, que ce soit au niveau européen, national, régional ou local.
Je pense également au programme Erasmus+, qui fêtera ses 35 ans en 2022, et qui jouera un rôle central dans la mise en œuvre et le financement des activités de cette Année européenne de la jeunesse.
Alors que la présidence française de l’Union européenne débutera en janvier 2022, je serai pleinement engagée en faveur de notre jeunesse pour que cette année soit un réel succès. Les actions que nous mettrons en place ne devront d’ailleurs pas se cantonner à l’année 2022, car les jeunes sont notre priorité et notre avenir.