Donner forme à la politique d’éducation numérique

Procédure terminée

📌 Votes principaux

👍 Adoption du texte
✅️ Adopté

🇪🇺 Députés européens

639
24
25

🇫🇷 Députés français🗳 Voir le vote

77
1
Parmi 79 députés, 78 ont votés.
25 mars 2021

📚 Sources

🗃️ Données

🚫 Aucun amendement
Nicolas BAY | Rassemblement national
. – Ce rapport vise à développer l’éducation du numérique tout en garantissant la liberté des enseignants et la prévention des dangers du numérique. J’ai voté pour.
Dominique BILDE | Rassemblement national
J’ai voté pour ce texte, qui, une fois n’est pas coutume, ne dénature pas le sujet sur lequel il porte. Certaines innovations, comme une sensibilisation aux dangers du numérique, vont dans le bon sens.
Geoffroy DIDIER | Les Républicains
Ce rapport d’initiative fait suite à la proposition de la Commission pour un nouveau plan d’action en matière d’éducation numérique. Le nouveau plan s’articule autour de deux nouvelles stratégies: le développement d’un écosystème d’éducation numérique hautement performant et la transformation numérique du secteur éducatif. Il est nécessaire de centrer l’approche du numérique autour de l’humain, de protéger les données des élèves et étudiants, mais aussi de s’assurer du libre accès aux infrastructures. J’ai voté en faveur de ce rapport.
France JAMET | Rassemblement national
Si, a priori, le «tout numérique» pourrait représenter des dangers, les garde-fous sur le principe de subsidiarité, sur «la liberté des enseignants», les «dangers du numérique» et le rôle de l’interaction avec l’enseignant, m’ont portée a fortiori vers un vote positif.
Gilles LEBRETON | Rassemblement national
J’ai voté pour ce rapport car il faut développer l’éducation numérique pour tous, notamment en période de COVID, où le télétravail et l’enseignement à distance sont devenus la norme. Par ailleurs, le texte insiste à juste titre sur le fait qu’il faut protéger les États contre les cybermenaces. Le «tout numérique» pourrait présenter des dangers, mais le texte comporte les garde-fous nécessaires pour y pallier.
Emmanuel MAUREL | Gauche républicaine et socialiste
En contexte de confinement, de télétravail et de cours à distance, ce rapport se penche sur l’éducation numérique. La notion est vaste et le rapport porte autant sur l’éducation «au» numérique que sur l’éducation «par» le numérique. Même si les deux sont abordés de façon distincte, je m’inquiète d’un engrenage qui tendrait à substituer des solutions numériques comme l’intelligence artificielle, à l’apprentissage humain où l’attention se concentre sur la relation avec le professeur et l’interaction entre camarades de classe. Ensuite, malgré quelques garde-fous posés par le rapport, je doute que les fractures numériques se réduisent à mesure que s’approfondit la digitalisation de l’éducation. Si les ressources scolaires se transmettent trop largement par ces canaux coûteux et que l’accès à l’information finit par en dépendre, les jeunes Européens seront de moins en moins égaux, à court et moyen termes, devant l’enseignement et l’orientation. Je me suis abstenu sur ce rapport afin d’exprimer ces fortes réserves, mais sans pour autant adresser de signal négatif quant à l’objectif légitime de comblement des fractures numériques.
Joëlle MÉLIN | Rassemblement national
Ce texte souhaite que 10 % des budgets soient alloués à l’éducation (article 6) et souhaite la coordination des différents programmes existants et du cadre financier. Il insiste sur le fait que le haut débit devrait être considéré comme un bien public et être accessible à tous, notamment dans les zones reculées et rurales (article 15). Il faut renforcer les connaissances des enseignants et prévenir les cybermenaces. Ce rapport déplore l’absence persistante de mesures ciblant les apprenants adultes peu qualifiés et les personnes âgées. J’ai voté pour ce texte, qui est bien construit.
Nadine MORANO | Les Républicains
J’ai voté en faveur de cette résolution relative à la politique d’éducation numérique. Dans un contexte où 94 % des apprenants dans le monde (soit 1,6 milliard de personnes) ont subi les conséquences de la pandémie de COVID-19, le texte souligne que l’éducation numérique est devenue une nécessité pour lutter contre les impacts des confinements. Il invite notamment la Commission et les États membres à utiliser les fonds du plan de relance européen pour renforcer la capacité numérique des systèmes éducatifs et lutter contre les inégalités d’accès à l’éducation numérique.
Anne SANDER | Les Républicains
J’ai décidé de voter en faveur du rapport d’initiative du Parlement européen sur l’éducation numérique. Après le lancement d’un plan d’action en la matière par la Commission, le Parlement propose des recommandations pour mieux coordonner l’éducation numérique à l’échelle de l’Union européenne. Il s’agit de prendre la mesure du tournant numérique que prend l’éducation des jeunes Européens, que la crise sanitaire a mis en lumière, et auquel il convient de consacrer une attention toute particulière. En effet, les mesures de restrictions d’accès aux établissements scolaires en raison de la pandémie de COVID-19 ont accentué les disparités d’accès à internet parmi les citoyens européens, de même que l’enseignement numérique a accru les inégalités entre les élèves dans leur accès à l’enseignement. L’exclusion du monde numérique constitue un facteur de marginalisation, aussi bien social qu’économique, contre lequel il est absolument nécessaire de lutter, et je me réjouis que le Parlement européen propose des pistes d’amélioration dans ce domaine.
Manon AUBRY | La France Insoumise
Ce rapport vise à présenter les propositions du Parlement pour lutter contre les inégalités en matière de compétences numériques au sein de l’Union européenne. Il appelle notamment à promouvoir l’inclusion des femmes dans les formations scientifiques et technologiques, alerte sur les conséquences du renforcement de l’apprentissage à distance pour les élèves défavorisés et demande des investissements supplémentaires dans les politiques éducatives. J’ai donc voté pour ce texte qui présente des constats et des solutions pertinents pour faire face aux inégalités numériques.
Manuel BOMPARD | La France Insoumise
Ce rapport demande de réduire les inégalités de compétences numériques au sein des États membres et entre les États membres. Il invite également à développer de façon plus inclusive les outils pédagogiques numérique tout en maintenant que l’éducation en présentiel doit rester la norme. Victoire symbolique: il reconnaît que le semestre européen a conduit à des coupes budgétaires alors même que les investissements dans l’éducation devraient être préservés. Le rapport insiste également sur l’importance des «solutions libres et ouvertes, la réutilisation du contenu dans le domaine public». Enfin, le rapport invite à promouvoir les jeunes filles dans les carrières scientifiques. Je n’ai donc aucune difficulté à soutenir ce texte relativement complet sur le sujet.
Laurence FARRENG | Mouvement Démocrate
J’ai voté en faveur de ce rapport d’initiative dont j’avais la charge pour mon groupe. Le sujet de l’éducation au numérique, du e-learning et des compétences numériques était déjà d’actualité depuis quelques années, mais la crise sanitaire actuelle et le passage à l’enseignement à distance pendant le confinement ont révélé les besoins et les lacunes existants. Déploiement d’infrastructures numériques, compétences numériques, contenus et protection des données: nous disposons d’outils européens dont nous devons nous saisir. J’ai particulièrement tenu à intégrer la dimension de protection des données éducatives et de la nécessité de faire émerger des acteurs de l’éducation numérique sur le territoire européen, afin de ne plus dépendre des solutions proposées par des entreprises étrangères.
Jérôme RIVIÈRE | Rassemblement national
On ne peut être que favorable à un enseignement du numérique, du code, de l’Intelligence artificielle (IA) et à une égalité homme-femme. Le «tout numérique» pourrait représenter des dangers, mais les garde-fous sur le principe de subsidiarité, sur «la liberté des enseignants», les «dangers du numérique», le rôle de l’interaction avec l’enseignant, permettent de soumettre un vote pour.
Agnès EVREN | Les Républicains
J’ai voté en faveur du rapport intitulé «Donner forme à la politique d’éducation numérique» qui fait suite au plan d’action en matière d’éducation numérique (2021-2027) présenté par la Commission européenne en septembre dernier.L’utilisation massive de la technologie au cours de cette crise sanitaire a mis en lumière les inégalités persistantes en termes de compétences numériques dans les États membres. L’année 2020 a illustré la nécessité pour l’Union européenne de garantir une meilleure connectivité et une éducation informatique de qualité à ses citoyens. Pour pallier ces disparités, le rapport encourage les États membres à consacrer au moins 10 % du financement de la facilité pour la reprise et la résilience (FRR) à l’éducation et les incite en outre à rendre plus significatives les dépenses publiques allouées à l’éducation.Face au défi croissant que représente la lutte contre les contenus illicites et illégaux en ligne et le danger d’exposition des enfants, le rapport invite également à responsabiliser les enfants grâce à l’éducation et à des programmes adaptés à leur âge, notamment en leur apprenant à adopter les bons comportements dans le monde numérique qui leur permettront de comprendre les contenus préjudiciables et de savoir comment réagir.
Jean-Paul GARRAUD | Rassemblement national
. – J’ai voté pour ce rapport car je suis favorable à un enseignement du numérique, du code, de l’Intelligence artificielle (IA) et à l’égalité homme-femme. Le «tout numérique» pourrait représenter des dangers, mais le texte prévoit bien des garde-fous sur le principe de subsidiarité, sur «la liberté des enseignants», les «dangers du numérique» et le rôle de l’interaction avec l’enseignant.
Virginie JORON | Rassemblement national
Pour une fois, ce texte ne dénature pas le sujet (développer l’éducation numérique) par des considérations politiques éloignées de la problématique. Les amendements, en revanche, ne peuvent s’empêcher de réécrire le texte dans un combat idéologique différent: le caractère «inclusif» (cité 28 fois, sans être défini) a, par exemple, une belle place. Cependant, on ne peut être que favorable à un enseignement du numérique, du code, de l’Intelligence artificielle (IA) et à une égalité homme-femme. Le «tout numérique» pourrait représenter des dangers, mais les garde-fous sur le principe de subsidiarité, sur «la liberté des enseignants», les «dangers du numérique» et le rôle de l’interaction avec l’enseignant me permettent de proposer un vote positif. J’ai voté pour.
Jordan BARDELLA | Rassemblement national
Ce texte porte des ambitions légitimes: un meilleur enseignement du numérique, des langages de programmation, de l’Intelligence artificielle, et de l’égalité femme-homme. J’ai donc voté pour.
Hélène LAPORTE | Rassemblement national
Le texte de M. Negrescu rappelle la nécessité des compétences numériques et constate la lacune européenne dans ce domaine. La COVID-19 et le passage au numérique ont exacerbé ces différences car la transition numérique a accentué le décrochage. Ce texte souhaite que 10 % des budgets soient alloués à l’éducation et souhaite la coordination des différents programmes existants et du cadre financier. Il insiste sur le fait que le haut débit devrait être considéré comme un bien public et être accessible à tous, notamment dans les zones reculées et rurales. Il faut renforcer les connaissances des enseignants et prévenir les cybermenaces. Ce texte a pour ambition de développer l’éducation numérique, ce qui est à soutenir. J’ai donc voté pour ce rapport.
Aurélia BEIGNEUX | Rassemblement national
Pour une fois, ce texte ne dénature pas le sujet (développer l’éducation numérique) par des considérations politiques éloignées de la problématique. Les amendements, en revanche, ne peuvent s’empêcher de réécrire le texte dans un combat idéologique différent: le caractère «inclusif» (cité 28 fois, sans être défini) a, par exemple, une belle place…Cependant, on ne peut être que favorable à un enseignement du numérique, du code, de l’Intelligence artificielle (IA) et à une égalité homme-femme.Le «tout numérique» pourrait représenter des dangers, mais on trouve aussi de nombreux garde-fous sur le principe de subsidiarité, sur «la liberté des enseignants», les «dangers du numérique» et le rôle de l’interaction avec l’enseignant.J’ai donc voté pour.
Mathilde ANDROUËT | Rassemblement national
Ce rapport rappelle la nécessité des compétences numériques et pointe les lacunes européennes dans ce domaine: 42 % des Européens ne disposent pas des compétences numériques de base, ce chiffre variant en fonction des États membres, des sexes et des milieux. La COVID-19 et le passage au numérique ont exacerbé ces disparités. Le texte souhaite que 10 % des budgets soient alloués à l’éducation, la coordination des différents programmes existants et du cadre financier. Il insiste sur le fait que le haut débit devrait être considéré comme un bien public et être accessible à tous, notamment dans les zones reculées et rurales. Il insiste aussi sur le nécessaire renforcement des connaissances des enseignants et sur la prévention des cybermenaces et déplore l’absence persistante de mesures ciblant les apprenants adultes peu qualifiés et les personnes âgées…Nous sommes favorables à un enseignement du numérique, du code, de l’Intelligence artificielle. Certes, le «tout numérique» pourrait représenter des dangers, mais les garde-fous sur le principe de subsidiarité, sur «la liberté des enseignants», sur les «dangers du numérique» et sur le rôle de l’interaction avec l’enseignant sont bien posés. J’ai voté pour.
Annika BRUNA | Rassemblement national
J’ai voté en faveur de ce rapport sur l’éducation numérique qui permettra un meilleur enseignement de l’informatique, du «code» et de l’intelligence artificielle, le tout en respectant la liberté des enseignants.Le texte insiste aussi sur le fait que le haut débit devrait être considéré comme un bien public et être accessible à tous, notamment dans les zones rurales.
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