Politique de cohésion et stratégies régionales en matière d’environnement dans la lutte contre le changement climatique

Procédure terminée

📌 Votes principaux

👍 Adoption du texte
✅️ Adopté

🇪🇺 Députés européens

572
79
37

🇫🇷 Députés français🗳 Voir le vote

78
Parmi 79 députés, 78 ont votés.
25 mars 2021

📚 Sources

🗃️ Données

🚫 Aucun amendement
Nicolas BAY | Rassemblement national
. – Ce rapport condamne l’écologie punitive et respecte la souveraineté des États membres tout en s’inscrivant dans la lutte contre les conséquences du changement climatique. J’ai voté pour.
Dominique BILDE | Rassemblement national
J’ai voté pour ce texte.Je salue notamment le fait que ce texte comporte un certain nombre de dispositions favorables aux régions ultrapériphériques.
Geoffroy DIDIER | Les Républicains
Ce rapport d'initiative a pour objectif d’explorer les possibilités pour renforcer le rôle de la politique de cohésion dans la lutte contre le changement climatique. Les objectifs du pacte vert pour l’Europe ne pourront être atteints que par une cohésion entre les États membres et une cohésion des politiques déjà mises en place. Les autorités régionales et locales doivent pleinement jouer leur rôle et être plus impliquées pour parvenir à une croissance durable et forte. J’ai voté en faveur de ce rapport.
France JAMET | Rassemblement national
Tout en condamnant l’écologie punitive et dans le respect de la souveraineté des États membres de l’Union européenne, j’ai estimé opportun de ne pas être systématiquement opposée à des propositions qui peuvent s’inscrire dans la lutte contre les conséquences du changement climatique auxquelles nos compatriotes sont sensibles. J’ai donc voté pour ce dossier.
Gilles LEBRETON | Rassemblement national
J’ai voté pour ce rapport car, tout en condamnant l’écologie punitive, j’estime qu’il faut lutter contre les conséquences du changement climatique. Or, la politique de cohésion économique, sociale et territoriale est le plus important outil d’investissement en Europe et joue un rôle essentiel dans la lutte contre ces conséquences.
Emmanuel MAUREL | Gauche républicaine et socialiste
Ce rapport souligne l’importance de la coopération régionale européenne dans la lutte contre la catastrophe climatique à venir. Il appelle ainsi les pays à se coordonner en matière de politique environnementale, sociale et économique, afin de respecter les engagements de l’Union pour le respect des accords de Paris, mais aussi des objectifs de développement durable (ODD) à travers la politique de cohésion, principale politique d’investissement de l’Union européenne. Il se félicite de l’accord obtenu sur le Fonds pour une transition juste, ainsi que de REACT EU. Le rapport préconise également la mise en place d’une stratégie environnementale ne se limitant pas seulement aux institutions centrales, mais en insistant sur une coopération avec les acteurs régionaux, locaux, associatifs ou provenant d’organisations non gouvernementales. Pour ces raisons, j’ai voté en faveur de ce rapport.
Joëlle MÉLIN | Rassemblement national
Ce rapport promeut une cohésion économique assortie d’une croissance durable et d’emplois verts, respectant les besoins des différents secteurs; une cohésion sociale assortie d’une transition juste, d’une équité sociale, d’une compréhension de la précarité énergétique et des besoins spéciaux (les 10 % les plus riches de la population mondiale émettent 52 % du CO2, tandis que les 50 % les plus pauvres ne sont responsables que de 7 % des émissions de CO2); une cohésion territoriale assortie d’une compréhension des différents besoins des régions de l’Union, en particulier des régions insulaires et frontalières confrontées à l’élévation du niveau de la mer, mais aussi des zones urbaines où les températures augmentent plus rapidement. Aussi, parce qu’il faut accompagner ces bonnes propositions qui contribueront à lutter contre les causes du réchauffement climatique, j’ai soutenu ce texte.
Nadine MORANO | Les Républicains
J’ai voté en faveur de ce rapport sur la politique de cohésion et les stratégies régionales en matière d’environnement dans la lutte contre le changement climatique. Le texte souligne que la politique de cohésion est l’outil d’investissement le plus important de l’UE et qu’il est amené à jouer un rôle essentiel dans la lutte contre le changement climatique. Il salue le rôle clé joué par les collectivités territoriales dans la transition écologique et estime que des solutions innovantes visant à renforcer les zones rurales et à les rendre plus attrayantes en tant que lieux de résidence et de travail devraient constituer un élément essentiel de la mise en œuvre de la politique de cohésion.
Manon AUBRY | La France Insoumise
Ce rapport vise à présenter les propositions du Parlement européen pour améliorer la contribution de la politique de cohésion à la lutte contre le changement climatique. Il souligne la nécessité pour l’Union de respecter les accords de Paris, invite les autorités de gestion des fonds de cohésion à maximiser l’impact climatique de leurs programmes, rappelle l’importance du développement des énergies renouvelables et se félicite de l’exclusion des énergies fossiles du Fonds pour une transition juste. J’ai donc voté pour ce texte qui présente des constats et des propositions pertinentes pour renforcer la dimension écologique de la politique européenne de cohésion.
Manuel BOMPARD | La France Insoumise
Cette résolution souligne le rôle de la politique de cohésion dans la lutte contre le changement climatique. Elle insiste sur l’importance qu’il y a à respecter les engagements pris par l’Union dans le cadre du pacte vert européen pour mettre en œuvre l’accord de Paris et les objectifs de développement durable, en pleine conformité avec la future taxonomie et le principe de «ne pas nuire significativement». Elle invite notamment les autorités de gestion de la politique de cohésion à systématiquement prendre les impératifs de protection des écosystèmes, d’atténuation et d’adaptation aux effets du changement climatique. Surtout, elle exige la suppression progressive des investissements publics et privés dans les industries hautement polluantes et nuisibles et dans les énergies fossiles. Il s’agit donc dans l’ensemble d’un bon texte que je n’ai aucune difficulté à soutenir.
Laurence FARRENG | Mouvement Démocrate
La politique de cohésion européenne, via notamment les programmes européens tels que le FEDER, est la politique européenne la plus proche des citoyens de l’Union. Alors que des milliers de projets d'infrastructures, de recherche et de coopération sont financés chaque année dans toute l'Europe, cette politique a un rôle clé à jouer dans la lutte locale contre le changement climatique. J'ai veillé, par le dépôt d'un amendement, à ce que l'aspect architectural, via l'intégration de l'initiative du New European Bauhaus, soit bien présent dans ce rapport, auquel j'ai bien évidemment apporté mon soutien lors de cette plénière.
Agnès EVREN | Les Républicains
J’ai voté en faveur du rapport sur la politique de cohésion et de stratégies régionales en matière d’environnement dans la lutte contre le changement climatique. Il s’agit d’un rapport visant à inciter les autorités locales et régionales à concevoir et développer les politiques climatiques locales traduisant les objectifs de l’Union européenne dans le cadre du pacte vert pour l’Europe, de l'accord de Paris et des Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies. Le texte encourage, de surcroît, une plus large prise en compte des enjeux environnementaux et sociaux dans la préservation du patrimoine culturel. Des projets comme le nouveau Bauhaus européen, portant sur la résilience de la culture et mêlant science et innovation, pourraient ainsi représenter des solutions innovantes pour faire face aux changements climatiques dans les villes. Le rapport rappelle le rôle décisif des collectivités locales et régionales dans les choix vers une transition économique et solidaire. Il incite également les acteurs locaux, régionaux et nationaux à collaborer plus étroitement. Enfin, je salue l’accent mis sur le potentiel des régions périphériques et ultrapériphériques en matière d’énergies renouvelables, d’innovation et de gestion des déchets.
Jean-Paul GARRAUD | Rassemblement national
. – J’ai voté pour ce rapport car il s’inscrit dans la lutte contre les conséquences du changement climatique.
Virginie JORON | Rassemblement national
Tout en condamnant l’écologie punitive et dans le respect de la souveraineté des États membres de l’union européenne, il est selon moi opportun de ne pas être systématiquement opposée à des propositions qui peuvent s’inscrire dans la lutte contre les conséquences du changement climatique auxquelles nos compatriotes sont sensibles. Aussi, j’ai voté pour.
Jordan BARDELLA | Rassemblement national
J’ai voté en faveur de ce texte, dont je partage les objectifs généraux en matière de transition écologique. Il faudra toutefois veiller à ce que cette transition ne se matérialise pas par des mesures punitives, ni par des atteintes à la souveraineté des États membres.
Hélène LAPORTE | Rassemblement national
L’exposé des motifs proclame que le changement climatique est le principal défi du XXIe siècle et qu’il faut définir le rôle de la politique de cohésion et les stratégies régionales en matière d’environnement dans la lutte contre le changement climatique pour les prochaines années. La politique de cohésion est le plus grand outil d’investissement en Europe et joue donc un rôle essentiel dans la lutte contre le changement climatique. Le pacte vert pour l’Europe et l’engagement en faveur d’une Europe neutre pour le climat au plus tard en 2050 invitent à prendre d’urgence des mesures concrètes afin d’atteindre les objectifs climatiques intermédiaires pour 2030 et 2040, de remplir les obligations légales de l’accord de Paris et de respecter les engagements à l’égard des objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies. Même si je condamne l’écologie punitive, j’ai voté pour ce texte car la lutte contre les conséquences du changement climatique est à prendre en compte.
Mathilde ANDROUËT | Rassemblement national
La politique de cohésion entend jouer un rôle important dans la lutte «contre le changement climatique». Rappelons-le, le pacte vert pour l’Europe et l’engagement en faveur d’une Europe «climatiquement neutre» au plus tard en 2050 invitent à prendre d’urgence des mesures concrètes afin d’atteindre les objectifs climatiques intermédiaires pour 2030 et 2040, de remplir les obligations légales de l’accord de Paris et de respecter les engagements à l’égard des objectifs de développement durable de l’ONU. Dans ce cadre, les propositions de ce rapport visent à atteindre trois objectifs: une cohésion économique assortie d’une croissance durable et d’emplois verts, une cohésion sociale assortie d’une transition juste, d’une équité sociale, d’une compréhension de la précarité énergétique et des besoins spéciaux, et une cohésion territoriale assortie d’une compréhension des différents besoins des régions de l’Union, en particulier des régions insulaires et frontalières, mais aussi des zones urbaines. Ce rapport est loin d’être parfait, il s’apparente à un catalogue de propositions en tout genre. Cependant certaines de ces propositions sont favorables aux régions ultrapériphériques qui sont particulièrement délaissées, aussi ai-je voté pour.
Annika BRUNA | Rassemblement national
J’ai voté en faveur de ce texte qui propose de lutter contre les conséquences du changement climatique en utilisant la politique européenne de cohésion, principal outil d’investissement en Europe.Ce rapport vise à stimuler une croissance durable, pourvoyeuse d’emplois verts, en prenant en compte l’équité sociale, via notamment la compensation de la précarité énergétique. Il tient également compte des besoins particuliers des régions insulaires et frontalières, dont les régions d’outre-mer.
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