Résilience des entités critiques

Procédure terminée

📌 Votes principaux

📚 Sources

🗃️ Données

🚫 Aucun amendement
Nicolas BAY | Reconquête!
. – J’ai voté pour ce rapport qui permet de mieux identifier les éléments vulnérables de nos infrastructures publiques et privées essentielles. Énergie, transports, numérique, alimentation, santé: 11 secteurs au total dans lesquels les éléments critiques seront repérés et mieux protégés contre les menaces, afin d’assurer au mieux la stabilité de nos sociétés face, par exemple, à une crise sanitaire ou des projets d’attaques terroristes.
Dominique BILDE | Rassemblement national
J’ai soutenu ce texte pour des raisons relatives à l’intérêt stratégique des pays d’Europe dont la France fait partie intégrante. En effet, en consacrant ce texte aux entités critiques, c’est-à-dire aux infrastructures essentielles comme des banques, des infrastructures de santé ou encore des moyens logistiques pour canaliser de l’eau potable ou usée, l’UE prend conscience de la dangerosité du monde qui nous entoure. Le texte a pour objectif d’étendre à 11 secteurs supplémentaires, dont ceux précédemment cités. En définissant des secteurs stratégiques, nous nous donnons surtout les moyens de faire face collectivement aux attaques terroristes ou aux menaces en tout genre qui pèsent sur l’ensemble de nos compatriotes.
Geoffroy DIDIER | Les Républicains
Ce texte vise à améliorer la résilience de la fourniture de services essentiels et du maintien de fonctions sociétales ou d’activités économiques vitales en temps de crise. Pour ce faire, il est proposé d’augmenter la résilience des entités critiques qui fournissent ces services, c’est-à-dire les infrastructures énergétiques, les opérateurs de transports ou encore les services publics. Il intègre notamment la protection de l’environnement, la santé et la sûreté publique aux services essentiels. Le texte prévoit également de renforcer la coopération et la coordination des États membres dans cet effort. Favorable à ces mesures, je me suis prononcé en faveur de ce texte.
Brice HORTEFEUX | Les Républicains
J’ai soutenu ce texte qui harmonise et instaure des règles pour protéger les infrastructures critiques de l’Union européenne. Il est plus que jamais vital de protéger nos secteurs de l’énergie, des transports, de l’alimentation, etc. des risques géopolitiques physiques autant que numériques. Cette résilience doit passer par une dimension transfrontalière et une coopération européenne renouvelée. En assurant la sécurité de ces systèmes qui soutiennent notre mode de vie, ce texte permettra de répondre à la fois aux enjeux climatiques et aux conséquences de l’agression russe en Ukraine.
France JAMET | Rassemblement national
Avec notre délégation, j’avais soutenu le rapport qui fixait la position du Parlement préalable aux négociations avec le Conseil. Dans le contexte actuel de menaces terroristes, de crises sanitaires ou d’attaques hybrides, l’objectif est de réduire les vulnérabilités et de renforcer la résilience physique d’entités publiques et privées qui fournissent des services essentiels dont dépendent les moyens de subsistance de nos sociétés. J’ai voté pour.
Gilles LEBRETON | Rassemblement national
J’ai voté pour ce rapport, car il dresse des constats intéressants sur la multiplication des menaces qui pèsent sur nos infrastructures critiques des secteurs de l’énergie et du transport. Il constate notre impréparation aux attaques dont elles pourraient être victimes, et dont les conséquences seraient désastreuses.
Nadine MORANO | Les Républicains
J’ai voté en faveur de ce rapport sur la résilience des entités critiques. Cet accord de trilogue a pour objectif d'améliorer la fourniture, au sein du marché intérieur, de services essentiels au maintien de fonctions sociétales ou d'activités économiques vitales en augmentant la résilience des entités critiques qui fournissent ces services (infrastructures énergétiques, de transport, services publics, etc.). Il intègre par exemple au domaine des services essentiels la protection de l'environnement, la santé, ou encore la sûreté publique. Il prévoit aussi de renforcer la coopération et la coordination entre États membres dans la protection des entités critiques.
Manon AUBRY | La France Insoumise
Ce rapport vise à approuver une directive qui établit un cadre pour la protection des “entités critiques” (hors domaine militaire) essentielles au bon fonctionnement des États européens. Elle prévoit notamment de mieux prendre en compte l’enjeu de la résilience des infrastructures de distribution d’énergie et d’eau, de télécommunications, de transports, de distributions de nourritures, ou d'approvisionnement en médicaments. J’ai donc voté pour ce texte qui apporte une première réponse face à la multiplication des catastrophes naturelles liées au dérèglement climatique qui désorganisent les réseaux clefs et nécessitent une stratégie de prévention et d’adaptation coordonnée au niveau européen.
Jérôme RIVIÈRE | Reconquête!
. – J’ai voté pour ce rapport qui permet de mieux identifier les éléments vulnérables de nos infrastructures publiques et privées essentielles. Énergie, transports, numérique, alimentation, santé: 11 secteurs au total dans lesquels les éléments critiques seront repérés et mieux protégés contre les menaces, afin d’assurer au mieux la stabilité de nos sociétés face, par exemple, à une crise sanitaire ou des projets d’attaques terroristes.
Jean-Paul GARRAUD | Rassemblement national
. – Dans le contexte de menaces terroristes, sanitaires ou hybrides, l’objectif de ce texte est de réduire les vulnérabilités et de renforcer la résilience d’entités publiques et privées qui fournissent des services jugés essentiels à nos sociétés. Je l’ai donc soutenu.
Jordan BARDELLA | Rassemblement national
Dans le contexte de multiples menaces terroristes, de la crise sanitaire et de possibilités d’attaques hybrides, j'ai voté en faveur de ce texte dont l’objectif est de réduire les vulnérabilités et de renforcer la résilience physique des entités publiques et privées qui fournissent des services essentiels à la population.
Catherine GRISET | Rassemblement national
. – Notre délégation a soutenu le rapport qui fixait la position du Parlement préalable aux négociations avec le Conseil. Dans le contexte de menaces terroristes, de crises sanitaires ou d’attaques hybrides, l’objectif est de réduire les vulnérabilités et de renforcer la résilience physique d’entités publiques et privées qui fournissent des services essentiels dont dépendent les moyens de subsistance de nos sociétés. Cette proposition signe la fin de la ‘mondialisation heureuse’ puisque, d’une part, elle acte la multiplication multiforme des menaces qui pèse sur nos sociétés et que, d’autre part, elle confesse l’impréparation de ces dernières du fait bien souvent, au mieux, d’une irresponsable naïveté, au pire et bien souvent, d’une vision idéologique coupable de déracinement et de déni du réel. J’ai donc voté en faveur du rapport.
Aurélia BEIGNEUX | Rassemblement national
La directive 2008/114/CE établit une procédure de désignation des infrastructures critiques européennes dans les secteurs de l’énergie et des transports, dont la perturbation des activités ou la destruction aurait un impact transfrontière significatif sur au moins deux États membres. Son évaluation réalisée en 2019 et la résolution du PE sur les conclusions de la commission spéciale sur le terrorisme en 2018 ont débouché sur la présente révision. Selon la proposition, malgré les mesures existantes aux niveaux nationaux et européen, les entités qui exploitent les infrastructures critiques ne sont pas équipées de manière adéquate pour faire face aux risques actuels et anticipés pesant sur leurs activités, qui pourraient entraîner des perturbations dans la fourniture de services essentiels à l’exercice de fonctions sociétales ou d’activités économiques vitales.Dans le contexte de menaces terroristes, de crises sanitaires ou d’attaques hybrides, l’objectif est de réduire les vulnérabilités et de renforcer la résilience physique d’entités publiques et privées qui fournissent des services essentiels dont dépendent les moyens de subsistance de nos sociétés.J’ai voté pour.
Mathilde ANDROUËT | Rassemblement national
Dans le contexte de menaces terroristes, de crises sanitaires ou d’attaques hybrides, l’objectif est de réduire les vulnérabilités et de renforcer la résilience physique d’entités publiques et privées qui fournissent des services essentiels dont dépendent nos moyens de subsistance. Même si elle n’évite pas les poncifs habituels, cette proposition acte aussi la fin de la « mondialisation heureuse » puisqu’elle enregistre la multiplication multiforme des menaces qui pèse sur nos sociétés et qu’elle elle avoue l’impréparation de ces dernières, par naïveté, ou pire encore du fait d’une vision idéologique coupable de déni du réel. J’ai voté pour.
Annika BRUNA | Rassemblement national
La directive 2008/114/CE établit une procédure de désignation des infrastructures critiques européennes dans les secteurs de l’énergie et des transports, dont la perturbation des activités ou la destruction aurait un impact transfrontière significatif sur au moins deux États membres. Son évaluation réalisée en 2019 et la résolution du PE sur les conclusions de la commission spéciale sur le terrorisme en 2018 ont débouché sur la présente révision. En effet, selon la proposition, malgré les mesures existantes aux niveaux nationaux et européen, les entités qui exploitent les infrastructures critiques ne sont pas équipées de manière adéquate pour faire face aux risques actuels et anticipés pesant sur leurs activités, qui pourraient entraîner des perturbations dans la fourniture de services essentiels à l’exercice de fonctions sociétales ou d’activités économiques vitales. Dans le contexte de menaces terroristes, de crises sanitaires ou d’attaques hybrides, l’objectif est de réduire les vulnérabilités et de renforcer la résilience physique d’entités publiques et privées qui fournissent des services essentiels dont dépendent les moyens de subsistance de nos sociétés, même si elle n’évite pas les poncifs habituels sur l’état de droit et le bienfait des actes délégués confiés à la Commission. J’ai donc voté en faveur de ce texte.
Marina MESURE | La France Insoumise
La directive établit un cadre pour la protection des entités critiques. Elle énonce les critères que les États membres doivent satisfaire pour disposer d’un cadre national de protection et de résilience de leurs entités critiques et crée la catégorie des entités critiques d’importance européenne. Les exploitants de ces entités sont soumis à des critères de protection plus élevés. La directive ne s’applique à aucune infrastructure liée à la sécurité ou à la défense nationale. Elle transmet principalement une perspective axée sur la sûreté et la sécurité, vers la création de la résilience afin de rétablir rapidement leur fonctionnement. Ainsi, ce texte crée des exigences minimales pour les stratégies de reprise après sinistre, qui sont importantes au vu du fait que les plus grandes menaces pour nos infrastructures (tempête, inondations) sont en nette augmentation. J’ai donc décidé de voter en faveur de cette directive.
🚫 Aucune explication de vote
🚫 Aucune intervention en plénière