Un niveau élevé commun de cybersécurité

Procédure terminée

📌 Votes principaux

📚 Sources

🗃️ Données

🚫 Aucun amendement
Nicolas BAY | Reconquête!
. – Je soutiens cette directive, qui met en place des mesures destinées à assurer un niveau élevé commun de cybersécurité en introduisant une harmonisation minimale des mesures dans l’ensemble de l’Union. Le rapport encourage chaque État membre à formuler une stratégie nationale en matière de cybersécurité sur la cyberdéfense active, laquelle devrait faciliter le travail des forces de police européennes et la lutte contre la criminalité liée aux technologies de pointe.
Dominique BILDE | Rassemblement national
J’ai voté pour ce texte.La directive 2016/1148/UE est le premier texte législatif sur la cybersécurité à l’échelle de l’Union européenne. Cette directive a eu des effets positifs, notamment en matière de coopération entre les États membres, qui se sont individuellement dotés d’autorités chargées de la cybersécurité.Adoptée en 2016, cette directive a ensuite fait l’objet d’une proposition de révision de la Commission européenne. Cette proposition vise à moderniser le cadre juridique en tenant compte de la numérisation accrue du marché intérieur.En particulier, la directive révisée élargit le panel d’acteurs soumis à des contraintes en matière de cybersécurité et renforce les obligations de déclaration des accidents. Le réseau «EU-CyCLONe» soutient la coordination au niveau européen.Au regard de la multiplication des cyberattaques et de leur sophistication accrue, ce texte, négocié par la présidence française, apparaît comme positif.
Geoffroy DIDIER | Les Républicains
Ce rapport vise à approuver l’accord de trilogues négocié entre le Conseil, la Commission et le Parlement concernant une directive sur des mesures destinées à assurer un niveau élevé commun de cybersécurité dans l’ensemble de l’Union. Elle fixe des exigences de cybersécurité plus strictes pour les administrations, les infrastructures et les entreprises. Elle harmonise également les mesures en la matière afin de renforcer réellement la cybersécurité européenne, la disparité de mesures nationales rendant l’UE plus vulnérable. Favorable à ces mesures qui visent à faire d’Internet un espace sécurisé, et étant personnellement très impliqué sur les défis de liberté et de sécurité en ligne, j’ai soutenu ce rapport par mon vote.
France JAMET | Rassemblement national
La transformation numérique de la société a élargi le paysage des menaces et fait apparaître de nouveaux défis qui nécessitent des réponses adaptées et innovantes. Le nombre de cyber-attaques continue d’augmenter, de plus en plus sophistiquées et provenant d’un large éventail de sources à l’intérieur et à l’extérieur de l’UE. Grâce aux élus du groupe ID, le renforcement des garanties et des incitations pour les PME a été intégrée dans l’accord. J’ai voté pour.
Gilles LEBRETON | Rassemblement national
J’ai voté pour ce rapport car il vise à renforcer la sécurité informatique des États membres de l’UE, en mettant en place des normes minimales de sécurité, ainsi qu’en encourageant la création d‘autorités nationales dédiés à ce sujet.
Nadine MORANO | Les Républicains
J’ai voté en faveur de ce rapport relatif à la directive modificative sur les exigences en matière de résilience opérationnelle numérique. Ce texte, qui fait partie du paquet sur la finance numérique, modifier les dispositions de plusieurs directives existantes pour les rendre compatibles avec le règlement DORA.
Manon AUBRY | La France Insoumise
Ce rapport vise à valider une révision de la directive sur la cybersécurité afin de mieux protéger les secteurs stratégiques comme l’eau, l’énergie ou la santé. Elle impose notamment aux États membres de désigner des autorités nationales compétentes, des points de contact uniques, et des équipes de recensement et de réponse aux incidents de sécurité informatique. J’ai donc voté pour ce texte qui permettra de renforcer nos outils de défense face aux attaques cyber.
Agnès EVREN | Les Républicains
La cybersécurité est au cœur des préoccupations de l’Union européenne pour assurer un degré élevé de protection pour les institutions, les entreprises et les citoyens européens. Face à la hausse des attaques cybercriminelles, dont 17 attaques majeures ayant visé des organes européens en 2021, les forces de police européennes doivent voir leur capacité de réponse augmentée pour contrer ces attaques. J’ai donc voté en faveur du rapport visant à assurer un niveau commun élevé de cybersecurité dans l’ensemble de l’Union, qui abrogera la directive sur la sécurité des réseaux et des systèmes d’information, la remplacera par une nouvelle directive visant à refléter l’évolution du paysage des menaces en matière de cybersécurité, et qui introduira une harmonisation des mesures pour lutter contre ce fléau dans l’ensemble de l’Union. Cette nouvelle directive permettra de renforcer les capacités de résilience et de réaction aux incidents cybercriminels des entités publiques et privées, des autorités compétentes et de l’Union dans son ensemble, notamment pour assurer la meilleure protection possible de nos infrastructures critiques.
Aurélia BEIGNEUX | Rassemblement national
La directive NIS (UE 2016/1148) est le premier texte législatif sur la cybersécurité à l’échelle de l’UE. Elle a été adoptée en 2016 dans le but de garantir un certain niveau de sécurité pour les réseaux et systèmes d’information appartenant à des infrastructures critiques et sensibles dans les États-membres de l’UE.Quatre ans plus tard, la Commission a adopté une proposition de directive révisée (directive NIS 2). De manière générale, cette proposition de révision modernise le cadre juridique existant en tenant compte de la numérisation accrue du marché intérieur au cours des dernières années et de l’évolution du paysage des menaces en matière de cybersécurité.Ici, la transformation numérique de la société a élargi le paysage des menaces et fait apparaître de nouveaux défis nécessitant des réponses adaptées. Le nombre de cyberattaques continue d’augmenter, avec des attaques sophistiquées provenant d’un large éventail de sources à l’intérieur et à l’extérieur de l’UE. Ce rapport indique également que la Commission devrait veiller à ce que des soutiens appropriés soient donnés à toutes les microentreprises et autres petites structures entrant dans le champ d’application de la directive NIS 2.Pour toutes ces raisons, j’ai voté pour ce rapport.
Marina MESURE | La France Insoumise
Cette révision de la directive sur la sécurité de l’information et des réseaux affine les critères pour les stratégies nationales de cyber sécurité afin de prévenir les attaques dans les secteurs jugés essentiels tels que l’énergie, la santé ou l’eau. Cette révision impose aux États-membres de désigner des autorités nationales compétentes, des points de contact uniques et des équipes de réponse aux incidents de sécurité informatique. Dans les faits, l’État a déjà accès à ces données. Ici, la directive établit ce principe et le fait dans le respect des principes de proportionnalité et de nécessité, dans l’unique contexte d’un accès en cas de cyberattaque. Ainsi, en raison du risque croissant de ce type d’attaque et leur danger pour nos systèmes, j’ai décidé de voter en faveur de cette révision.
🚫 Aucune explication de vote
🚫 Aucune intervention en plénière