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36. invite les États membres à mener davantage de campagnes d’information et de sensibilisation
afin d’
pour encourager les citoyens à adopter des animaux de compagnie auprès de refuges animaliers dignes de confiance plutôt que de les acheter, et pour
informer les citoyens des effets négatifs du commerce illégal d’animaux de compagnie et de
les inciter à
l’importance de
n’acheter que des animaux de compagnie élevés, détenus et commercialisés de manière responsable et dans le respect du bien-être animal;
Déposé par S&D (🇫🇷 : Parti socialiste, Place publique, Nouvelle Donne)
D bis. considérant que dans les établissements d’élevage à grande échelle et destinés à une production de masse, les animaux ne sont pas traités d’une manière adaptée à leurs besoins, ce qui entraîne des conséquences graves et durables pour leur santé, leur bien-être et leur développement comportemental;
Déposé par GUE/NGL (🇫🇷 : La France Insoumise, Gauche républicaine et socialiste)
M. considérant que les mauvais traitements infligés aux animaux de compagnie, y compris aux animaux élevés, détenus et vendus dans le but de devenir des animaux de compagnie dans les foyers, aux animaux de compagnie utilisés à des fins de divertissement, de sport et de travail comme les lévriers et les galgos (lévriers espagnols), et aux animaux errants, restent une préoccupation majeure pour de nombreux citoyens; qu’une (meilleure) identification et un (meilleur) enregistrement des animaux de compagnie peuvent être utiles dans la lutte contre la maltraitance des animaux et dans la responsabilisation des propriétaires d’animaux de compagnie; que l’identification et l’enregistrement sont des éléments essentiels de la gestion non létale et humaine des animaux errants et de la réduction progressive des populations d’animaux errants ;
Déposé par GUE/NGL (🇫🇷 : La France Insoumise, Gauche républicaine et socialiste)
10. estime qu’il est nécessaire d’établir une définition uniforme, au niveau de l’Union, des établissements d’élevage commercial à grande échelle, connus sous le nom d’usines à chiots, afin de lutter contre le trafic d’animaux de compagnie; invite la Commission et les États membres à prendre des mesures pour interdire les pratiques d’élevage et de commercialisation qui portent atteinte à la santé, au bien-être et au développement comportemental des animaux de compagnie;
Déposé par GUE/NGL (🇫🇷 : La France Insoumise, Gauche républicaine et socialiste)
– Madame la Présidente, j’aurais préféré répondre à cette mise en cause personnelle juste après les propos de M. Glucksmann, mais merci de me donner la parole, même si l’hémicycle est un peu clairsemé.
Cela m’aurait permis de m’excuser pour une maladresse que je regrette sincèrement, en ce qui concerne les tout derniers mots de mon intervention d’hier. Comme en témoigne la vidéo, je parlais sous la pression logique du marteau qui signalait la fin de mon temps de parole. Je ne lisais plus mon texte et je regrette sincèrement d’avoir parlé de «rebelles» au lieu de dire «l’élimination des terroristes».
Cela dit, ces propos ne sont en rien des propos de haine et je pense en conclusion qu’il est temps de reconnaître qu’il n’y a plus de rebelles depuis longtemps, mais des islamistes dans cette région. Je laisse le dernier mot au rapport de l’ONU qui disait, en juin dernier: «Idlib est désormais le plus grand dépotoir de combattants terroristes au monde».
Je vous réitère mes excuses sincères.
– Madame la Présidente, chers collègues, le trafic d’animaux gangrène l’Europe depuis des années. Il est, selon Interpol, le troisième au monde, juste derrière le trafic d’armes et le trafic de drogue. Depuis les années 2000, l’essor des animaleries, des annonces en ligne et des réseaux sociaux, la situation s’aggrave chaque jour un peu plus.
D’après l’ONG Four Paws, environ huit millions de chiots sont nécessaires chaque année pour satisfaire la demande européenne en ligne et le marché génère plus d’un milliard d’euros de revenus. Les grands perdants, ce sont les animaux. La plupart sont élevés illégalement et en batterie par des filières organisées, dans des conditions indignes. Ce sont des femelles traitées en machines à reproduire jusqu’à épuisement, ce sont des dizaines de milliers de petits chiots et chatons arrachés bien trop tôt à leur mère, peu ou pas soignés, pas vaccinés, élevés parfois sans égard pour leurs besoins de base avant d’être transportés à travers l’Europe dans des conditions auxquelles certains ne survivent tout simplement pas.
Il est plus que temps que nos pays se dotent d’un système d’identification obligatoire et harmonisé pour contrer les trafiquants. Il est plus que temps d’encadrer les ventes d’animaux sur l’internet comme une première étape vers, nous l’espérons, leur interdiction pure et simple. C’est pourquoi j’ai voté pour cette résolution.