Défis et perspectives pour le secteur de la pêche en mer Noire

Procédure terminée

📌 Votes principaux

👍 Adoption du texte
✅️ Adopté

🇪🇺 Députés européens

598
3
92

🇫🇷 Députés français🗳 Voir le vote

56
21
Parmi 79 députés, 77 ont votés.
23 juin 2021

📚 Sources

🗃️ Données

🚫 Aucun amendement
Nicolas BAY | Rassemblement national
. – Le rapport ne présente aucun aspect contraignant ou problématique, mais j’estime que c’est aux pays riverains de la Mer Noire qu’il revient de s’associer et de se concerter sur la meilleure façon de préserver la ressource et d’assurer l’avenir de leurs pêcheurs. Je me suis donc abstenu.
Dominique BILDE | Rassemblement national
Je me suis abstenue sur ce rapport.L'objectif affiché de ce rapport est de préserver un certain équilibre entre préservation de l'environnement et de la biodiversité et essor économique.De fait, des mesures contraignantes adoptées uniquement par la Roumanie et la Bulgarie seraient sans effet si elles ne sont pas également suivies par les autres pays riverains. Il leur appartient donc de se déterminer.
Geoffroy DIDIER | Les Républicains
Ce rapport d'initiative évalue les défis et les opportunités pour le secteur de la pêche en mer Noire. Avec l'adhésion de la Bulgarie et de la Roumanie à l'Union en 2007, la législation européenne et la politique commune de la pêche (PCP) sont devenues applicables aux eaux territoriales de ces deux pays. Ce texte évalue l’état des stocks d’espèces présentes et les défis liés à des facteurs naturels ou à l’activité humaine. Il est important de connaître les enjeux économiques et les ressources de ces eaux territoriales. J’ai voté en faveur de ce texte.
France JAMET | Rassemblement national
C’est aux pays riverains de la Mer Noire qu’il revient de s’associer et de se concerter sur la meilleure façon de préserver la ressource et d’assurer l’avenir de leurs pêcheurs. Or la France n’est pas concernée par cette problématique, d’où mon abstention.
Gilles LEBRETON | Rassemblement national
Je me suis abstenu sur ce rapport car il propose des mesures contraignantes pour préserver la ressource en Mer noire et assurer l’avenir des pêcheurs concernés.
Emmanuel MAUREL | Gauche républicaine et socialiste
Ce rapport porte à notre attention les dégradations environnementales inquiétantes liées à l’activité humaine en mer Noire. Il fait état de l’évolution de la biodiversité, en identifie les causes, et propose des solutions concrètes pour préserver la faune marine.Or, la mer Noire est bordée par deux pays membres de l’Union européenne, à savoir la Bulgarie et la Roumanie. Loin de les pointer du doigt, le rapport propose des mécanismes d’accompagnement destinés à favoriser une pêche locale et respectueuse de l’environnement ainsi que des pêcheurs.À mon sens, ce rapport fait preuve d’une grande compréhension des enjeux écologiques contemporains. On ne peut pas préserver l’environnement sans prendre en compte les besoins des populations concernées. Les solutions proposées s’inscrivent dans une dynamique durable, tant sur le plan environnemental que sur le plan social et économique.Je vote donc pour ce rapport.
Nadine MORANO | Les Républicains
J’ai voté en faveur de cette résolution sur les défis et les perspectives pour le secteur de la pêche en mer Noire. Le texte rappelle que la mer Noire est une mer semi-fermée, bordée par six pays, dont deux seulement sont des États membres de l’Union européenne. Il demande à tous les États riverains de la mer Noire de promouvoir une pêche durable, notamment en luttant contre la surexploitation des stocks et en éliminant les prises accessoires d’espèces menacées d’extinction, telles que les esturgeons et les aloses. Il invite la Commission à étudier la possibilité de mettre en place un plan de gestion pluriannuel pour la mer Noire.
Manon AUBRY | La France Insoumise
Ce rapport vise à présenter les propositions du Parlement européen pour faire face aux défis et aux perspectives du secteur de la pêche en mer Noire. Il alerte sur les conséquences négatives de la surpêche, dénonce la dégradation des écosystèmes marins en raison de l’activité humaine, souligne l’impact du dérèglement climatique sur la biodiversité et demande aux Etats riverains de promouvoir une pêche durable. J’ai donc voté pour ce texte qui va dans le sens d’une meilleure protection de l’environnement.
Manuel BOMPARD | La France Insoumise
La mer Noire, avec une superficie de 461 000 kilomètres carré (en incluant la mer d’Azov) et un volume de 540 000 kilomètres cubes, est une étendue d’eau unique, pratiquement fermée et assez profonde (profondeur maximale de 2212 mètres). La mer Noire présente des caractéristiques écologiques uniques. Ce milieu unique a permis le développement d’une riche biodiversité formée d’espèces endémiques dites pontocaspiennes. La mer Noire connaît malheureusement une profonde crise écologique depuis de nombreuses années. Ainsi le biote fragile de la mer Noire est menacé par la prolifération d’espèces exotiques envahissantes. Le réchauffement climatique est une autre source de pression majeure sur la biodiversité locale : ainsi, le phoque de la mer Caspienne va perdre au cours des prochaines années ses principaux lieux de mise bas en raison du réchauffement et de la baisse du niveau de la mer. En tout, entre la moitié et les trois quarts des espèces locales sont désormais menacées, très menacées ou ont disparu au cours des 50 dernières années. Ce rapport entend proposer des solutions à cette profonde crise écologique en mer Noire et à ses conséquences sociales. Les propositions avancées vont dans le bon sens. Je soutiens ce texte.
Jérôme RIVIÈRE | Rassemblement national
Ce rapport d’initiative provenant d’un député socialiste bulgare affiche l’objectif « d’améliorer l’équilibre entre, d’une part, laprotection de l’environnement et de la biodiversité et, d’autre part, le maintien et/ou la création de moyens de subsistanceéconomiques ». Le texte propose beaucoup de voeux pieux et vagues, conscient que des mesures contraignantes adoptéesseulement par la Roumanie et la Bulgarie n’auraient aucun effet sur l’amélioration de l’écosystème de la Mer Noire si elles ne sont pas également suivies par les autres pays riverains. C’est aux pays riverains de la Mer Noire qu’il revient de s’associer et de se concerter sur la meilleure façon de préserver la ressource et d’assurer l’avenir de leurs pêcheurs. En tant que Français, nous ne sommes pas concernés par ce sujet, d’où une proposition d’abstention.
Jean-Paul GARRAUD | Rassemblement national
. – Je me suis abstenu sur ce rapport car nous ne sommes pas concernés par ce sujet en tant que français.
Jordan BARDELLA | Rassemblement national
Le texte propose beaucoup de voeux pieux et vagues, conscient que des mesures contraignantes adoptées seulement par la Roumanie et la Bulgarie n’auraient aucun effet sur l’amélioration de l’écosystème de la Mer Noire si elles ne sont pas également suivies par les autres pays riverains. C’est aux pays riverains de la Mer Noire qu’il revient de s’associer et de se concerter sur la meilleure façon de préserver la ressource et d’assurer l’avenir de leurs pêcheurs. Je me suis donc abstenu sur ce texte.
Hélène LAPORTE | Rassemblement national
Depuis 2007, la Roumanie et la Bulgarie sont membre de l’Union européenne. Par conséquent, les eaux territoriales de ces deux pays relèvent de la Politique Commune de la Pêche (PCP). Leur deux Zones Économiques Exclusives (ZEE) représentent 15% de la superficie de la Mer Noire, cette dernière étant également bordée par la Turquie, la Russie, l’Ukraine et la Géorgie. Ce rapport d’initiative affiche l’objectif « d’améliorer l’équilibre entre, d’une part, la protection de l’environnement et de la biodiversité et, d’autre part, le maintien et/ou la création de moyens de subsistance économiques ». Le texte propose beaucoup de vœux pieux et vagues, conscient que des mesures contraignantes adoptées seulement par la Roumanie et la Bulgarie n’auraient aucun effet sur l’amélioration de l’écosystème de la Mer Noire si elles ne sont pas également suivies par les autres pays riverains. Je me suis donc abstenue sur le texte.
Aurélia BEIGNEUX | Rassemblement national
Depuis 2007, la Roumanie et la Bulgarie sont membre de l’Union européenne. Par conséquent, les eaux territoriales de ces deux pays relèvent de la Politique Commune de la Pêche (PCP). Leur deux Zones Économiques Exclusives (ZEE) représentent 15% de la superficie de la Mer Noire, cette dernière étant également bordée par la Turquie, la Russie, l’Ukraine et la Géorgie.Ce rapport d’initiative provenant d’un député socialiste bulgare affiche l’objectif « d’améliorer l’équilibre entre, d’une part, la protection de l’environnement et de la biodiversité et, d’autre part, le maintien et/ou la création de moyens de subsistance économiques ». Le texte propose beaucoup de vœux pieux et vagues, conscient que des mesures contraignantes adoptées seulement par la Roumanie et la Bulgarie n’auraient aucun effet sur l’amélioration de l’écosystème de la Mer Noire si elles ne sont pas également suivies par les autres pays riverains.C’est aux pays riverains de la Mer Noire qu’il revient de s’associer et de se concerter sur la meilleure façon de préserver la ressource et d’assurer l’avenir de leurs pêcheurs. En tant que Français, nous ne sommes pas concernés par ce sujet.Après l’analyse du rapport j’ai préféré m’abstenir.
Mathilde ANDROUËT | Rassemblement national
La Roumanie et la Bulgarie sont membres de l’Union européenne depuis 2007, ce qui implique que les eaux territoriales de ces deux pays relèvent de la Politique Commune de la Pêche (PCP). Leur deux Zones Économiques Exclusives (ZEE) représentent 15% de la superficie de la Mer Noire, cette dernière étant également bordée par la Turquie, la Russie, l’Ukraine et la Géorgie. Ce rapport d’initiative propose beaucoup de vœux pieux et vagues (« protection de la biodiversité », « maintien et/ou la création de moyens de subsistance économiques »), qui n’auraient aucun effet sur l’amélioration de l’écosystème de la Mer Noire si elles ne sont pas également suivies par les autres pays riverains. Nous estimons que c’est aux pays riverains qu’il revient de s’associer et de se concerter sur la meilleure façon de préserver les ressources halieutiques et d’assurer l’avenir de leurs pêcheurs. Je me suis abstenue.
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