Effets des parcs éoliens en mer et des autres systèmes d'énergie renouvelable sur le secteur de la pêche

Procédure terminée

📌 Votes principaux

👍 Proposition de résolution
✅️ Adopté

🇪🇺 Députés européens

512
21
159

🇫🇷 Députés français🗳 Voir le vote

20
1
57
Parmi 79 députés, 78 ont votés.
6 juillet 2021

📚 Sources

🗃️ Données

🚫 Aucun amendement
Nicolas BAY | Rassemblement national
. – Le texte souhaite instaurer des garde-fous bienvenus pour prévenir les dégâts causés sur les activités de pêche par les parcs éoliens en mer. Je me suis néanmoins abstenu car ce texte présente malgré tout l’éolien comme bénéfique; cela ne pourra qu’encourager la construction de nouveaux parcs, alors que nos paysages et notamment les côtes normandes, riches en précieuses ressources de pêche, sont déjà saccagées.
Dominique BILDE | Rassemblement national
Je me suis abstenue sur ce texte.Le texte propose des garde-fous contre les dégâts causés par les éoliennes, ce qui est louable. Mais je ne saurais toutefois soutenir cette technologie, à l'heure où sept parcs éoliens sont en cours de construction sur la façade nord-ouest de la France.
Geoffroy DIDIER | Les Républicains
Ce rapport d’initiative porte sur les effets des parcs éoliens en mer et des autres systèmes d’énergies renouvelables sur le secteur de la pêche. Il souligne l’importance des énergies renouvelables sur le long terme et encourage l’aménagement de l’espace maritime, notamment en définissant des zones de pêche qui doivent rester exemptes d’énergie renouvelable. Il est nécessaire pour continuer à développer ce secteur de mener des recherches complémentaires sur les impacts environnementaux et économiques sur la pêche. J’ai voté en faveur de ce texte.
France JAMET | Rassemblement national
Ce texte propose des garde-fous aux parcs éoliens en mer, mais ne remet pas en cause cette technologie qui menace nos écosystèmes, notre filière pêche et défigure nos littoraux. D’où mon abstention.
Gilles LEBRETON | Rassemblement national
Je me suis abstenu sur ce rapport car, même s’il prétend protéger les pêcheurs, il soutient et encourage l’installation d’éoliennes dans les zones marines protégées.
Joëlle MÉLIN | Rassemblement national
Jusqu’à présent, la France ne comptait aucun parc éolien offshore en activité, contrairement à nombre de ses voisins européens. Mais sous l’impulsion de l’UE, le Pacte vert impose à la France de leur emboîter le pas alors qu’elle est capable de produire suffisamment d’énergie décarbonée grâce à son vaste parc nucléaire. Sept parcs éoliens doivent donc être mis en service entre 2022 et 2027 sur sa façade nord et nord-ouest. Coûteuses, dépendantes des aléas de la météo, abîmant les paysages, dangereuses pour la diversité halieutique et les activités de pêche, les éoliennes marines font polémique. Mais ce rapport d’initiative propose tout de même des orientations pour lutter plus particulièrement contre leurs effets négatifs sur la pêche. Je me suis dès lors abstenue.
Nadine MORANO | Les Républicains
J’ai voté en faveur de ce texte sur les effets des parcs éoliens en mer et des autres systèmes d’énergie renouvelable sur le secteur de la pêche. D’après la Commission, d’ici 2050, 30 % de la demande d’électricité devrait être couverte par l’énergie éolienne en mer qui constitue par ailleurs un moyen de parvenir aux objectifs énoncés par le Pacte vert. Ce rapport d’initiative appelle à éviter l’impact négatif à long terme causé par les éoliennes en mer sur certains écosystèmes, les stocks de poissons et la biodiversité, et par conséquent sur la pêche dans son ensemble. Il suggère donc de réaliser de solides études d’impact et préconise de recourir aux éoliennes flottantes, qui peuvent être installées en zones d’eaux profondes, ce qui leur permet d’être plus éloignées de la côte, d’avoir une plus faible incidence visuelle et de limiter le risque de chevauchement géographique avec les secteurs de pêche.
Younous OMARJEE | La France Insoumise
. – J’ai voté pour ce rapport car il reconnaît le potentiel de l’éolien en mer pour atteindre les objectifs en matière d’énergies renouvelables et ainsi contribuer aux objectifs climatiques de l’Union pour 2030 et 2050 tout en soulignant la nécessité de procéder à des évaluations précises pour chaque lieu d’implantation d’un parc éolien en mer en vue de minimiser autant que faire se peut son impact sur l’écosystème local. Il souhaite inclure dans ce processus de décision les pêcheurs.
Manon AUBRY | La France Insoumise
Ce rapport vise à présenter les observations et les recommandations du Parlement sur le développement des parcs éoliens en marche et leur impact sur le secteur de la pêche. Il rappelle le potentiel de l’éolien en mer et des autres formes d’énergies renouvelables marines pour atteindre les objectifs climatiques de l’Union tout en reconnaissant la nécessité d’évaluations environnementales afin de minimiser leur impact sur les écosystèmes. J’ai donc voté pour ce texte qui présente une vision équilibrée à la fois sur la nécessité de développer les parcs éoliens en mer pour décarboner notre production d’énergie et l’importance de le faire dans des conditions optimales pour l’environnement.
Manuel BOMPARD | La France Insoumise
Le développement des énergies renouvelables en mer est un élément central pour la réussite de la bifurcation écologique. Parmi ces énergies les éoliennes en mer sont de loin les plus développées et avancées. Leur développement ne va pas sans susciter certaines inquiétudes et oppositions. Afin d’assurer le meilleur développement des énergies renouvelables marines, il est impératif de planifier, démocratiquement et localement, pour assurer un déploiement énergétique permettant à la fois de minimiser les pertes, répondre de manière stable, prévisible, à la demande d’électricité sans nuire significativement au climat et aux écosystèmes locaux. Ce rapport demande à ce que les pêcheurs soient inclus dans le processus décisionnel relatif à la construction de nouvelles éoliennes en mer et que les parcs d’éoliennes en mer ne devraient être construits qu’après des évaluations démontrant qu’ils n’auront pas d’impact environnemental, écologique, socioéconomique et socioculturel négatif significatif, conformément aux principes du Pacte vert européen. Il s’agit donc d’un rapport relativement équilibré dans l’ensemble que je fais le choix de soutenir.
Laurence FARRENG | Mouvement Démocrate
J'ai choisi de m'abstenir sur le vote final de ce rapport d'initiative portant sur l'impact sur le secteur de la pêche des parcs éoliens offshore et d'autres systèmes d'énergies renouvelables, celui-ci étant trop anti-éolien à mes yeux.
Jérôme RIVIÈRE | Rassemblement national
Le texte souhaite instaurer des garde-fous bienvenus pour prévenir les dégâts causés par les parcs éoliens offshore sur les activités de pêche. Néanmoins, il paraît impossible de voter en faveur d’un texte qui présente la technologie éolienne comme bénéfique en soit, car cela ne fera qu’encourager leur multiplication alors même que 7 parcs sont déjà en cours de construction sur la façade nord / nord ouest de la France.Abstention.
Agnès EVREN | Les Républicains
J’ai voté en faveur du rapport sur les effets des parcs éoliens en mer et des autres systèmes d'énergies renouvelables sur le secteur de la pêche. La transition énergétique et le recours à des énergies plus économes en émission de carbone sont des piliers de la politique climatique de l’Union européenne qui nous permettront d’atteindre les objectifs du Pacte vert européen. Cependant, ce texte met en lumière les impacts négatifs qu’ont les parcs éoliens en mer sur le secteur de la pêche, les fonds marins et la biodiversité. Il est essentiel, comme le souligne le rapport, d’obtenir des études d’impact plus abouties, rendant compte fidèlement des effets sur le long terme de l’installation, de l’exploitation et du déclassement des éoliennes en mer sur la faune maritime.
Jean-Paul GARRAUD | Rassemblement national
. – Je me suis abstenu sur ce rapport car s’il souhaite instaurer des garde-fous bienvenus pour prévenir les dégâts causés par les parcs éoliens offshore sur les activités de pêche. il présente aussi la technologie éolienne comme bénéfique en soi, ce qui ne fera qu’encourager leur multiplication alors même que sept parcs sont déjà en cours de construction sur la façade nord/ nord-ouest de la France.
Jordan BARDELLA | Rassemblement national
Ce rapport propose des garde-fous bienvenus en matière d’éolien marin, notamment des orientations pour lutter contre leurs effets négatifs sur la pêche. Toutefois, il conserve l’idée que l’éolien est un système d’énergie renouvelable à privilégier, voire à subventionner. En outre, les moyens retenus par le texte pour protéger la pêche sont parfois douteux, notamment le fait d’installer les éoliennes dans les zones marines protégées. Je me suis donc abstenu.
Hélène LAPORTE | Rassemblement national
Jusqu’à présent, la France ne comptait aucun parc éolien offshore en activité, contrairement à nombre de ses voisins européens. Mais sous l’impulsion de l’UE et de son Pacte vert, la France doit prendre le pas bien qu’elle soit capable de produire suffisamment d’énergie dé-carbonée grâce à son vaste parc nucléaire. Sept parcs éoliens doivent être mis en service entre 2022 et 2027 sur sa façade nord et nord-ouest. Coûteuses, dangereuses pour la diversité halieutique et les activités de pêche, les éoliennes marines font polémique. Ce rapport d’initiative propose des orientations pour lutter plus particulièrement contre leurs effets négatifs sur la pêche. Le texte souhaite instaurer des garde-fous bienvenus pour prévenir les dégâts causés par les parcs éoliens offshore sur les activités de pêche. Néanmoins, il paraît impossible de voter en faveur d’un texte qui présente la technologie éolienne comme bénéfique en soit, car cela ne fera qu’encourager leur multiplication alors même que 7 parcs sont déjà en cours de construction sur la façade nord / nord-ouest de la France. Je me suis donc abstenue sur ce texte.
Aurélia BEIGNEUX | Rassemblement national
Jusqu’à présent, la France ne comptait aucun parc éolien offshore en activité, contrairement à nombre de ses voisins européens. Mais sous l’impulsion de l’UE et de son Pacte vert, la France doit prendre le pas bien qu’elle soit capable de produire suffisamment d’énergie dé-carbonée grâce à son vaste parc nucléaire. Sept parcs éoliens doivent être mis en service entre 2022 et 2027 sur sa façade nord et nord-ouest. Coûteuses, dépendantes des aléas de la météo inesthétiques, dangereuses pour la diversité halieutique et les activités de pêche, les éoliennes marines font polémique.Les points forts de ce texte sont la prise en compte des intérêts des pécheurs, mais jamais le texte ne remet en question le principe même des éoliennes. Pour ces raisons je me suis abstenue.
Mathilde ANDROUËT | Rassemblement national
Le rapporteur, bien qu’il ne remet pas en cause le principe des parcs éoliens offshore en eux-mêmes ni les objectifs du Pacte Vert, préconisait de ne pas poursuivre la construction effrénée de parcs éoliens offshore avant que des études environnementales et surtout socio-économiques poussées n’aient pas soulevé des incidences négatives. Après son examen en commission PECH, le ton du texte devient moins critique. Est avancée l’idée que l’éolien reste un système d’énergie renouvelable à privilégier, voire à subventionner. Le texte reste soucieux de protéger avant tout les pêcheurs, mais cela au prix de certaines propositions alternatives douteuses, notamment le fait d’installer les éoliennes dans les zones marines protégées (donc écologiques), interdites de pêche
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