Décharge 2018: entreprise commune Bio-industries (EC Bio-industries)

Procédure terminée

📌 Votes principaux

👍 Proposition de résolution
✅️ Adopté

🇪🇺 Députés européens

629
59
5

🇫🇷 Députés français🗳 Voir le vote

78
Parmi 79 députés, 78 ont votés.
14 mai 2020

📚 Sources

🗃️ Données

🚫 Aucun amendement
Nicolas BAY | Rassemblement national
J’ai voté en faveur de cette décharge car, dans le «Bio-based Industries Consortium», le financement des projets est très largement à l’initiative des industriels. L’UE n’est là que pour accompagner l’effort d’innovation. De plus, l’industrie des matériaux biosourcés représente un bassin d’emploi important en France.
Dominique BILDE | Rassemblement national
J'ai voté pour cette décharge.L’industrie des matériaux biosourcés représente un bassin d’emploi conséquent en France.
Geoffroy DIDIER | Les Républicains
Les bio-carburants et les bio-produits font aujourd’hui l’objet de nombreuses recherches à travers le monde car ils sont sans aucun doute des ressources essentielles à venir. L’Europe doit donc s’investir pleinement dans ce domaine prometteur. L’entreprise Bio-industries contribue donc à faire de l’Union européenne un acteur majeur de la recherche et de la démonstration dans ce domaine. Considérant que l’entreprise commune Bio-Industries, sur laquelle le Parlement a statué, semble avoir fait preuve d’une bonne gestion financière, j’ai donc voté en faveur de cette décharge budgétaire.
Gilles LEBRETON | Rassemblement national
J’ai voté pour cette décharge car l’Entreprise commune Bio-industrie contribue à la recherche sur les produits biosourcés, qui permettront de s’affranchir des énergies fossiles.
Joëlle MÉLIN | Rassemblement national
Le « Bio-based Industries Consortium » ou BBI est un partenariat public-privé entre l’UE et plusieurs partenaires industriels qui doit contribuer à faire de l'Union un acteur clé de la recherche dans les produits biosourcés avancés et les biocarburants afin de s’affranchir de la dépendance aux matières fossiles. Avec 101 projets portés par 54 % de PME et 27 % de grandes entreprises, la contribution de l'Union aux activités de l'entreprise commune est de 975 000 000 euros contre 2 730 000 000 euros pour les industriels sur la totalité du programme.Dans la mesure où les projets en cours démontrent une volonté de financer l’innovation favorable à l’environnement (bioplastiques, protéines végétales polyvalentes, algues et plasturgie, bétons bio-sourcés, bois...), que leurs financements est très largement à l’initiative des industriels et que l’industrie des matériaux bio-sourcés représente un bassin d’emploi conséquent en France, j’ai voté en faveur de cette décharge.
Nadine MORANO | Les Républicains
J’ai voté en faveur de la décharge 2018 de l’entreprise commune Bio Industries (BBI). Au début de l’exercice 2018, le programme de l’entreprise commune détenait un portefeuille de 101 projets en cours, réunissant un total de 1 169 participants originaires de 35 pays différents, pour une valeur totale de subvention de 499 millions d’euros. À la fin de l’année 2018, le personnel de l’entreprise commune atteignait 23 personnes, nombre maximum prévu dans le tableau des effectifs.
Manuel BOMPARD | La France Insoumise
Le BBI est une entreprise commune, c’est-à-dire un partenariat public-privé, qui a pour ambition de mobiliser des fonds privés dans la recherche et le développement autour des produits biosourcés (c’est-à-dire à base de résidus biologiques) et bioraffinés. J’ai quelques réserves concernant le fonctionnement et les finalités de cette entreprise commune mais, ses comptes ayant été déclarés sains par la Cour des comptes européenne, j’ai décidé d’approuver cette décharge budgétaire ainsi que la résolution qui l’accompagne.
Jean-Paul GARRAUD | Rassemblement national
J’ai voté pour ce rapport car dans le BBI Consortium, le financement des projets est très largement à l’initiative des industriels, l’UE n’est véritablement là que pour accompagner l’effort d’innovation. Il faut également rappeler que l’industrie des matériaux bio-sourcés représente un bassin d’emploi conséquent en France.
Julie LECHANTEUX | Rassemblement national
Vote pour: dans le BBI Consortium, le financement des projets est très largement à l’initiative des industriels, l’UE n’est véritablement là que pour accompagner l’effort d’innovation. Il faut également rappeler que l’industrie des matériaux bio-sourcés représente un bassin d’emploi conséquent en France.
Virginie JORON | Rassemblement national
J’ai voté pour.Dans le BBI Consortium, le financement des projets est très largement à l’initiative des industriels. Il faut également rappeler que l’industrie des matériaux bio-sourcés représente un bassin d’emploi conséquent en France.
Jordan BARDELLA | Rassemblement national
J’ai voté en faveur de cette décharge car ce partenariat laisse très largement les initiatives aux mains des industriels plutôt qu’à l’Union européenne, qui a davantage un rôle d’accompagnateur, et parce que les fins recherchées peuvent servir l’intérêt de l’ensemble des États membres : s’affranchir de la dépendance aux énergies fossiles en développant des produits biosourcés et des biocarburants.
Hélène LAPORTE | Rassemblement national
Le « Bio-based Industries Consortium » est un partenariat public-privé entre l’UE et plusieurs partenaires industriels qui doit contribuer à faire de l'Union un acteur clé de la recherche et le déploiement de produits biosourcés avancés et de biocarburants. Il s’agit de s’affranchir de la dépendance aux matières fossiles. Le partenariat représente désormais 101 projets, avec un total de 1169 participants dans 35 pays. En 2018, les crédits d’engagement s’élèvent à 120 900 000 euros et les crédits de crédits de paiement à 118 100 000 euros. L’industrie de la « bio-source » peut représenter une réelle alternative dans certains secteurs afin de s’affranchir de la dépendance aux matières fossiles (plastiques, polymères...). En revanche, dans son application pour concurrencer les carburants « traditionnels », les biocarburants ont été un véritable échec dans l’application de la politique environnementale de l’UE. La liste disponible des projets en cours montre une volonté affichée de financer l’innovation favorable à l’environnement (bioplastiques, protéines végétales polyvalentes...). J’ai voté pour la décharge car le financement des projets est très largement à l’initiative des industriels, l’UE n’est véritablement là que pour accompagner l’effort d’innovation et que l’industrie des matériaux bio-sourcés représente un bassin d’emploi conséquent en France.
Aurélia BEIGNEUX | Rassemblement national
Ce partenariat public-privé entend faire de l’UE un pilier dans la recherche et le déploiement de produits biosourcés et de biocarburants. Cela est nécessaire si l’on veut entamer une réelle transition écologique et ne plus être dépendant des énergies fossiles. Ce secteur est économiquement très important pour la France, j’ai donc voté pour cette décharge.
Annika BRUNA | Rassemblement national
J’ai voté pour la décharge 2018 du consortium « Bio based industries ». En effet, ce partenariat public privé cherche à favoriser la recherche et le développement dans le domaine des produits bio-sourcés afin de réduire notre dépendance aux industries fossiles. Son action est positive pour l’environnement mais aussi pour notre industrie de pointe. L’industrie des matériaux bio-sourcés représente de nombreux emplois dans l’hexagone et a un potentiel important.
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